| Louis Bourdaloue - 1758 - 462 pages
...fardeau ; beaucoup d'ouvriers pour les miniftères éclatans , mais peu pour les emplois obfcurs ; beaucoup pour les villes , mais peu pour les campagnes...beaucoup pour Paris , mais peu pour les provinces ; & je ne m'en étonne pas : car pour fe confiner dans les provinces , fur;tout pour travailler dans... | |
| Ferdinand Belin - 1875 - 240 pages
...enfin, il ajoute, (ce que nous savions déjà) : « Beaucoup d'ouvriers pour les ministères éclatants, mais peu pour les emplois obscurs ; beaucoup pour les villes, mais peu pour les campagnes 2. » Ce clergé des campagnes, si grossier et si décrié, ne comptait guère dans la société du... | |
| Victor Du Bled - 1901 - 356 pages
...régularité, et même sans piété.... (Nous voyons) beaucoup d'ouvriers pour les ministères éclatants, mais peu pour les emplois obscurs ; beaucoup pour les villes, mais peu pour les campagnes. » En fait la majorité du clergé est bonne, appliquée à ses devoirs, surtout dans la seconde moitié... | |
| Victor Du Bled - 1901 - 370 pages
...régularité, et même sans piété — (Nous voyons) beaucoup d'ouvriers pour les ministères éclatants, mais peu pour les emplois obscurs ; beaucoup pour les villes, mais peu pour les campagnes. » En fait la majorité du clergé est bonne, appliquée à ses devoirs, surtout dans la seconde moitié... | |
| Ernest Lavisse - 1905 - 428 pages
...voici, de Bourdaloue encore, une parole grave : « Beaucoup d'ouvriers pour les ministères éclatants, mais peu pour les emplois obscurs; beaucoup pour les villes, mais peu pour les campagnes ». Entre la haute et la basse église, en effet, le contraste était absolu. Il apparaît à qui lit,... | |
| 1906 - 874 pages
...d'ouvriers, s'écriait le prédicateur jésuite, pour les ministères éclatants, mais peu pour le« emplois obscurs ; beaucoup pour les villes, mais peu...campagnes ; beaucoup pour Paris, mais peu pour les provinces1, n Et l'illustre évèque de Nîmes avait fait entendre « les voix plaintives des pauvres... | |
| 1899 - 656 pages
...régularité-, et même sans piété... (Nous voyons) beaucoup d'ouvriers pour les ministères éclatants, mais peu pour les emplois obscurs ; beaucoup pour les villes, mais peu pour les campagnes. » Quant à l'ignorance de ce clergé rural, les preuves abondent aussi : vous en trouverez par centaines... | |
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