Les aventures de Télémaque,: fils d'Ulysse ;Chez Delalain le jeune, libraire, rue St.-Jacques, á la Science., 1787 - 376 pages |
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Common terms and phrases
Adrafte affez aimé ainfi alliés auffi avez avoient avoit bons c'eft c'eſt cher chercher chofes cœur commence confeils corps côté courage crainte cruelle d'être d'Ulyffe déeffe déja demanda dieux dire divinité doit donner douce douleur doux enfin ennemis étoient étoit fage fageffe fang fans fecret fentir fera fervir feul fils fleurs foit fon cœur fond font force forte fouffrir fous fuis gens gloire gouverner Grecs guerre heureux hommes Idoménée ifle j'ai jeune joie jour jufte l'amour l'autre l'ifle laiffe larmes LIVRE loin loix lui-même mains malheureux maux ment Mentor modération montre mort n'eft nation paffer paffions paix parler paroles pays peine pendant pere peuples Philoclès plaifir plaifirs plein porte pouvoit princes propre qu'à qu'un regarder régner rendre répondit rien rois s'il Télémaque tems terre tomber touché trouble trouver Ulyffe vaiffeau vent vérité vertu voifins voilà voit voyant vrai yeux
Popular passages
Page 173 - D'ailleurs un roi connoît beaucoup moins que les particuliers les hommes qui l'environnent: on est toujours masqué auprès de lui ; on épuise toutes sortes d'artifices pour le tromper. Hélas! cher Télémaque, vous ne l'éprouverez que trop ! On ne trouve point dans les hommes ni les vertus ni les talens qu'on y cherche. On a beau les étudier et les approfondir , on s'y mécompte tous les jours.
Page 64 - Il a une puissance absolue pour faire le bien , et les mains liées- dès qu'il veut faire le mal. Les lois lui confient les peuples comme le plus précieux de tous les dépôts , à condition qu'il sera le père de ses sujets.
Page 85 - J'embrasse Mentor, et je lui dis : Voici la mort, il faut la recevoir avec courage. Les dieux ne nous ont délivrés de tant de périls que pour nous faire périr aujourd'hui.
Page 159 - ... silence de la nuit, arrêtent au milieu de l'Olympe la lune et les étoiles, calment la mer irritée, font taire les vents...
Page 331 - Cet éclat éblouissant cachait une faiblesse et une misère qui eussent bientôt renversé son empire : maintenant il a un plus grand nombre d'hommes; et il les nourrit plus facilement. Ces hommes accoutumés au travail, à la peine...
Page 39 - D'où vient, disais-je à Narbal, que les Phéniciens se sont rendus les maîtres du commerce de toute la terre, et qu'ils s'enrichissent ainsi aux dépens de tous les autres peuples ? Vous le voyez, me répondit-il, la situation de Tyr est heureuse pour le commerce. C'est notre patrie qui a la gloire d'avoir inventé la navigation : les Tyriens furent les premiers, s'il en faut croire...
Page 288 - Plus vous aurez d'enfants, plus vous serez riches, pourvu que vous les rendiez laborieux; car la terre est inépuisable, et elle augmente sa fécondité à proportion du nombre de ses...
Page 24 - ... des arbres, ou le murmure d'une onde claire qui tombait de quelque rocher, ou les chansons que les Muses inspiraient aux bergers qui suivaient Apollon. Ce dieu leur enseignait à remporter le prix de la course et à percer de flèches les daims et les cerfs.
Page 132 - Quand ils furent dans cette rade, Mentor dit à Télémaque : Jupiter vous éprouve ; mais il ne veut pas votre perte : au contraire, il ne vous éprouve que pour vous ouvrir le chemin de la gloire. Souvenezvous des travaux d'Hercule; ayez toujours devant vos yeux ceux de votre père. Quiconque ne sait pas souffrir n'a point un grand cœur.
Page 91 - On cherche avec subtilité toutes les raisons qui la favorisent, et on se détourne de peur de voir toutes celles qui la condamnent. On n'est plus ingénieux que pour se tromper et pour étouffer ses remords. Avez-vous oublié tout ce que les dieux ont fait pour vous ramener dans votre patrie? Comment êtes-vous sorti de la Sicile?