Pourquoi je reste à la campagneCalmann Lévy, 1887 - 298 pages |
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aimait allait âme Amédée amour Anselme Maynard anxiété arriver avaient avez beau beauté Bergerin Bohême bonheur Boursault c'était chambre charmante cher cœur colère d'Anselme d'Ernestine demanda député devinait Dieu dit-il douce douleur Ernes Ernestine et Lucile Érostrate espérances Eugène Sue eût femme fortune Francine Albemare garde national George Sand Gustave de Nareins heures intelli j'ai jeune fille jeune homme jour journal Julien Féraud l'avait l'Initiateur laisser lettre lèvres Louise Lucile Dermont madame Servais main maison malheurs mariage ment mille misère monde monsieur Daruel monsieur de Nareins monsieur Féraud monsieur Servais murmura n'avait n'était Nathalie Duvivier nièce oncle passer passion pauvre pauvreté Pelves père peut-être politique premier qu'Anselme regard reprit reste rien roman rue de Vaugirard s'écria s'était Saint-Étienne salon selme semblait sentiment serait seul sieur Servais soir songer sorte sourire succès thalie vais vanité venait Versolant vin de Champagne voix yeux
Popular passages
Page 90 - ... provincial et parlementaire ? Je n'ai pas de mal à dire de cet excellent monsieur Servais, puisque c'est lui qui subventionne la boutique : il vaut de l'or. Ce Mirabeau d'arrondissement se figure qu'il sera un jour appelé à sauver la patrie, et que, ce jour-là, il n'aura qu'à nous dire à tous, comme Dieu aux flots de la mer : « Tu n'iras pas plus loin. » S'il savait les agréables surprises que nous lui réservons pour ces heures délicates ! Son faux toupet se dresserait d'horreur sur...