Victor Hugo raconté par un témoin de sa vie, Volume 2Librairie Internationale ; Bruxelles ; Leipzig, 1863 |
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Popular passages
Page 200 - Par votre ange envolée ainsi qu'une colombe? Par ce royal enfant, doux et frêle roseau ! Grâce encore une fois ! grâce au nom de la tombe ! Grâce au nom du berceau ! 12 juillet.
Page 480 - Dieu le veut, dans les temps contraires, Chacun travaille et chacun sert. Malheur à qui dit à ses frères...
Page 348 - Le livre n'a aucune prétention historique, si ce n'est de peindre peut•être avec quelque science et quelque conscience, mais uniquement par aperçus et par échappées, l'état des mœurs, des croyances, des lois, des arts, de la civilisation enfin, au quinzième siècle.
Page 36 - ... en un mot, qu'elles étaient pareilles l'une à l'autre, alors il s'établit à jamais entre elles une union ardente et pure comme elles, union qui commence sur la terre pour ne pas finir dans le ciel. Cette union est l'amour, l'amour véritable, tel à la vérité que le conçoivent "bien peu d'hommes, cet amour qui est une religion, qui divinise l'être aimé, qui vit de dévouement et d'enthousiasme et pour qui les plus grands sacrifices sont les plus doux plaisirs...
Page 207 - Eh bien! dans le premier article de la constitution que vous votez, vous venez de consacrer la première pensée du peuple : vous avez renversé le trône. Maintenant consacrez l'autre : renversez l'échafaud. Je vote l'abolition pure, simple et définitive de la peine de mort.
Page 31 - Je ne me dissimule ni les incertitudes, ni même les menaces de l'avenir ; mais j'ai appris d'une mère forte qu'on peut maîtriser les événements. Bien des hommes marchent d'un pas tremblant sur un sol ferme ; quand on a pour soi une conscience tranquille et un but légitime, on doit marcher d'un pas ferme sur un sol tremblant.
Page 341 - La poésie s'est montrée empressée de célébrer la grandeur des derniers événements; ils étaient faits pour inspirer tous ceux qui ont un cœur et une voix. Voici M. Victor Hugo qui se présente à son tour, avec une audace presque militaire, son patriotique amour pour une France libre et glorieuse, sa vive sympathie pour une jeunesse dont il est un des chefs éclatants; mais en même temps, par ses opinions premières...
Page 265 - Il y avait là une foule autour d'un poteau. Je m'approchai. A ce poteau était liée, carcan au cou, écriteau sur la tête, une créature humaine, une jeune femme ou une jeune fille. Un réchaud plein de charbons ardents était à ses pieds devant elle, un fer à manche de bois, plongé dans la braise, y rougissait, la foule semblait contente. Cette femme était coupable de ce que la jurisprudence appelle vol domestique et la métaphore banale, danse de Vanse du panier.
Page 275 - Il n'ya pas de petit peuple. Je le disais il ya peu de mois à la Belgique à propos des condamnés de Charleroi; qu'il me soit permis de le répéter à la Suisse aujourd'hui. La grandeur d'un peuple ne se mesure pas plus au nombre que la grandeur d'un homme ne se mesure à la taille.
Page 363 - Hé bien non ! non, mon cœur se brise ! c'est horrible ! Non, je l'ai trop aimée ! il est bien impossible De la quitter ainsi ! — Non ! c'est trop malaisé De garder un front dur quand le cœur est brisé ! Viens ! oh viens dans mes bras...