L'autre jour, à la soirée chez M. Lebrun, j'ai fait pendant une heure ma cour respectueuse à Mlle Léopoldine Hugo, l'aînée des enfants, la plus charmante et la plus perlée des ballades de son père : elle a dix-sept ans. Je la traitais comme une... Revue des deux mondes - Page 3771904Full view - About this book
| Juste Olivier - 1879 - 1062 pages
...des personnes qui touchent de plus près au grand poete, sur Mll° Léopoldine Hugo, par exemple, « la plus charmante et la plus perlée des ballades de son père. » Ses nouveaux compatriotes, si on ose les appeler ainsi, les habitants du bon pays du Vaud, n'échappent... | |
| Léon Séché - 1904 - 418 pages
...Hugo, l'aînée des enfants, la'plus charmante et la plus perlée des ballades de son père : ;lle a i7 ans. Je la traitais comme une très grande et très...personne qu'elle est, et elle avait l'air charmé. ^e sont-là nos plus vives émotions; j'appelle cela de la poésie, la seule qui me reste. » II était... | |
| Gustave Michaut - 1905 - 352 pages
...Lebrun, j'ai fait pendant une heure ma cour respectueuse à M"e Léopoldine Hugo, l'aînée des enfants, la plus charmante et la plus perlée des ballades...comme une très grande et très sérieuse personne et elle avait l'air charmé3. 1. 30 juin. — Cet article inédit subsiste dans la collection de M.... | |
| 1905 - 718 pages
...termes : « J'ai fait ma cour respectueuse à Mademoiselle Léopoldine Hugo, l'aînée des enfants, la plus charmante et la plus perlée des ballades de son père. » Le futur ingénieur n'en fut ému que rétrospectivement, quand il apprit que la petite main qu'une... | |
| André Pavie - 1909 - 374 pages
...une heure ma -cour respectueuse à Mlle Léopoldine Hugo, l'aînée des enfants, la plus c harmante et la plus perlée des ballades de son père. Elle...une très grande et très sérieuse personne qu'elle est,»et elle avait l'air charmé. Ce sont là nos plus vives émotions. J'appelle cela de la poésie,... | |
| Edmond Benoît-Lévy - 1926 - 674 pages
...Lebrun, j'ai fait pendant une heure ma cour respectueuse à Mlle Léopoldine Hugo, l'aînée des enfants, la plus charmante et la plus perlée des ballades...j'appelle cela de la poésie, la seule qui me reste. Sainte-Beuve pensait à l'Académie depuis des années ; dès 1839 il avait commencé ses travaux d'approche,... | |
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