... ce fut Gargantua son père. Car, voyant d'un côté sa femme Badebec morte, et de l'autre son fils Pantagruel né, tant beau et tant grand, ne savait que dire ni que faire, et le doute qui troublait son entendement était à savoir s'il devait pleurer... Revue des études rabelaisiennes - Page 1171912Full view - About this book
| Antoine-Vincent Arnault - 1827 - 490 pages
...et que faire ; et le doute qui troubloit « son entendement étoit à savoir s'il devoit plorer sur le « deuil de sa femme, ou rire pour la joie de son fils. D'un « côté et d'autre il avoit arguments sophistiques qui le « suffoquoient , car il les faisoit... | |
| François Rabelais - 1854 - 658 pages
...sçavoit que dire ne que faire. Et le double qui troubloit son entendement estoit, asçavoir s'il debvoit plorer pour le deuil de sa femme, ou rire pour la joie de son fils. D'un costé et d'aullre il avait arguments sophistiques qui le suffoquoient; car il les faisoit très-bien... | |
| Émile Auguste Étienne Martin Deschanel, Emile Deschanel - 1857 - 234 pages
...que dire ni que faire. Et le doute qui troublait son entendement était à savoir s'il devait pleurer pour le deuil de sa femme, ou rire pour la joie de son fils. D'un côté, et d'autre, il avait arguments sophistiques qui le suffoquaient: car il les faisait très-bien,... | |
| François Rabelais - 1857 - 386 pages
...entendement estoit , asçavoir s'il debvoit plorer pour En tondtman, c'est-à-dire comme un Allemand. le deuil de sa femme, ou rire pour la joie de son fils. D'un costé et d'aullre il avait arguments sophistiques qui le suffoquoienl; car il les faisoil très-bien... | |
| François Rabelais - 1861 - 632 pages
...grand , ne sçavoit que faire. Elle double qui troubloit sou entendement estoit, asçavoir s'il debvoit plorer pour le deuil de sa femme , ou rire pour la joie de son fils. D'un costé et d'aultre il avoit arguments sophistiques qui le sufToquoient ; car il les faisoit très-bien... | |
| François Rabelais - 1864 - 662 pages
...sçavoit que dire ne que faire. El le doubte qui troubluit son entendement estoit, asçavoir s'il debvoit plorer pour le deuil de sa femme, ou rire pour' la joie de son fils. D'un costé et d'aultre il avait arguments sophistiques qui le suffoquoient; car il les faisoit très-bien... | |
| Alfred Mayrargues - 1868 - 296 pages
...que dire ni que faire. Et le doute qui « troublait son entendement était, s'il devait pleurer « pour le deuil de sa femme, ou rire pour la joie « de son fils. D'un côté et d'autre, il avait des arce guments sophistiques, qui le suffoquaient ; car il « les... | |
| Alfred Mayrargues - 1868 - 282 pages
...que dire ni que faire. Et le doute qui « troublait son entendement était, s'il devait pleurer « pour le deuil de sa femme, ou rire pour la joie « de son fils. D'un côté et d'autre, il avait des arce guments sophistiques, qui le suffoquaient ; car il « les... | |
| Charles Victor Cherbuliez - 1870 - 424 pages
...morte, et de l'autre son fils Pantagruel né, il ne savait que dire ni que faire, ni s'il devait pleurer pour le deuil de sa femme ou rire pour la joie de son fils. » .1. Les nationaux-libéraux sont les uns plus nationaux, les autres plus libéraux. Gela s'est vu... | |
| 1870 - 1068 pages
...déet de l'autre son fils Pantagruel né, il ne savait que dire ni que faire, ni s'il devait pleurer pour le deuil de sa femme ou rire pour la joie de son fils. » On veut tout avoir. Les libéraux tentèrent d'énergiques efforts pour concilier les deux intérêts... | |
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