Lecouvreur. Un seul homme, tapi dans un coin de loge, et pour qui cet engouement général n'était pas contagieux, se bornait, de temps en temps, à dire à demi-voix : Bon, cela! Mémoires - Page 30by Académie des sciences, lettres et arts de Marseille - 1887Full view - About this book
| Léonor-Jean-Christine Soulas d' Allainval - 1822 - 406 pages
...ordinairement. Jamais début sur aucun théâtre ne fut peutêtre plus brillant que celui d'Adrienne Lecouvreur. Un seul homme , tapi dans un coin de loge , et pour qui cet engouement général n'était pas contagieux , se bornait , de temps en temps, à dire, à demi-voix, bon, cela!... | |
| 1822 - 420 pages
...ordinairement. Jamais début sur aucun théâtre ne fut peutêtre plus brillant que celui d'Adrienne Lecouvreur. Un seul homme , tapi dans un coin de loge , et pour qui cet engouement général n'était pas contagieux , se bornait , de temps en temps, à dire, à demi-voix, bon, cela!... | |
| Arsène Houssaye - 1858 - 460 pages
...la comédienne : « Jamais début sur aucun théâtre ne fut peut-être plus brillant que celui d' Adrienne Lecouvreur. Un seul homme, tapi dans un coin de loge, et pour qui cet engouement général n'était pas contagieux, se bornait, de temps en temps, à dire à demi-voix : Bon, cela!... | |
| Arsène Houssaye - 1858 - 454 pages
...la comédienne : « Jamais début sur aucun théâtre ne fut peut-être plus brillant que celui d' Adrienne Lecouvreur. Un seul homme, tapi dans un coin de loge, et pour qui cet engouement général n'était pas contagieux, se bornait, de temps en temps, à dire à demi-voix : Bon, cela!... | |
| Philibert Damiron - 1864 - 518 pages
...devait bien le savoir : « Jamais début sur aucun théâtre ne fut plus brillant que celui d'Adrienne Lecouvreur. Un seul homme, tapi dans un coin de loge, et pour qui cet engoûment n'était pas contagieux, se bornait de temps en temps à dire à demi voix : bon cela. Cet... | |
| Académie des sciences morales et politiques (France) - 1859 - 496 pages
...devait bien le savoir : « Jamais début sur aucun théâtre ne fut plus brillant que celui d'Adrienne Lecouvreur. Un seul homme, tapi dans un coin de loge, et pour qui cet engoûment n'était pas contagieux , se bornait de temps en temps à dire à demi voix : bon cela;... | |
| Jean Philibert Damiron - 1839 - 88 pages
...devait bien le savoir : « Jamais début sur aucun théâtre ne fut plus brillant que celui d'Adrienne Lecouvreur. Un seul homme, tapi dans un coin de loge, et pour qui cet engoûment n'était pas contagieux , se bornait de temps en temps à dire à demi voix : bon cela;... | |
| Arsène Houssaye - 1860 - 478 pages
...la comédienne : « Jamais début sur aucun théâtre ne fut peut-être plus brillant que celui d' Adrienne Lecouvreur. Un seul homme, tapi dans un coin de loge, et pour qui cet engouement général n'était pas contagieux, se bornait, de temps en temps, à dire à demi-voix : Bon, cela!... | |
| François Tamisier - 1862 - 70 pages
...fut le contemporain de Dumarsais, et passa sa vie, comme lui, dans la gêne et l'infortune. Jamais début sur aucun théâtre ne fut aussi brillant que...à qui on fit part de cette espèce de phénomène, voulut savoir qui il était, et ayant appris que c'était le célèbre grammairien Dumarsais, elle... | |
| Arsène Houssaye - 1863 - 496 pages
...la comédienne : « Jamais début sur aucun théâtre ne fut peut-être plus brillant que celui d' Adrienne Lecouvreur. Un seul homme, tapi dans un coin de loge, et pour qui cet engouement général n'était pas contagieux, se bornait, de temps en temps, à dire à demi-voix : 5on, cela!... | |
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