| Académie de Stanislas (Nancy, France) - 1853 - 652 pages
...et de l'abandon dans lesquels peuvent s'être passées les derniéres beures de leur existence. Eb bien ! mon ami, tu devras trouver quelque consolation...comblé des attentions les plus affectueuses et les plus toucbantes d'une quantité d'bomme bons et aimables. Ils me viennent voir sans cesse, caressent mes... | |
| 1853 - 652 pages
...c'est l'idée de l'isolement et de l'abandon dans lesquels peuvent s'être passées les dernières heures de leur existence. Eh bien ! mon ami, tu devras...je te donne, que depuis mon arrivée ici, je n'ai eessé d'être comblé des attentions les plus affectueuses et les. plus touchantes d'une quantité... | |
| Académie de Stanislas (Nancy, France) - 1853 - 660 pages
...c'est l'idée de l'isolement et de l'abandon dans lesquels peuvent s'être passées les derniéres heures de leur existence. Eh bien ! mon ami, tu devras...trouver quelque consolation dans l'assurance que je te donner que depuis mou arrivée ici, je n'ai eessé d'être comblé des attentions les plus affectueuses... | |
| Alexandre Dumas - 1863 - 660 pages
...c'est l'idée de l'isolement et de l'abandon dans lesquels peuvent s'être passées les dernières heures de leur existence. Eh bien, mon ami, tu devras...touchantes d'une quantité d'hommes bons et aimables. Il viennent me voir sans cesse, caressent mes caprices de malade, préviennenttoutes mes fantaisies:... | |
| 1869 - 424 pages
...lointaines, c'est l'idée de l'isolement & de l'abandon dans lesquels peuvent s'être passées les dernières heures de leur existence. Eh bien ! mon ami, tu devras...mon arrivée ici, je n'ai cessé d'être comblé des attentious les plus affectueuses & les plus touchantes d'une quantité d'hommes bons A aimables. »... | |
| 1869 - 622 pages
...n'ai cesse' d'etre com hie' dea attentions les plus affectueuses et les plus touchantes d'une quantite d'hommes bons et aimables. Ils me viennent voir sans cesse, caressent mes caprices de malade, previennent toutes mes fantaisies. . . . ' Mes souffrances ont <-h' bien grandes d'abord ; mais depuis... | |
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