 | Frederick II (King of Prussia) - 1788 - 650 pages
...présent quiconque sai{ le françois, peut voyager par toute l'Europe sans avoir besoin d'un interprête. L'usage de cette langue étrangère fit encore du...à la langue nationale, qui ne restant que dans la bouhe du peuple, ne pouvoit acquérir ce ton de politesse qu'elle ne gagne que dans la bonne compagnie.... | |
 | Frederick II (King of Prussia) - 1788 - 316 pages
...quiconque fait le François , peut voyager par toute l' Europe fans avoir befoin d'un interprète. L'ufage de cette langue étrangère fit encore du tort à la langue nationale , qui ne reftant que dans la bouche du peuple , ne pouvoit acquérir ce ton de politeffe qu'elle ne gagne que... | |
 | Frederick II (King of Prussia) - 1788 - 306 pages
...fait te François , peut voyager par toute l' Europe fans avoir befoirï d'un interprète. L'ufage de cette langue étrangère • fit encore du tort à la langue nationale , qui ne : reftant que .dans la bouche du peuple , ne pouvoit acquérir ce ton de politefle qu'elle ne gagne... | |
 | Frederick II (King of Prussia) - 1790 - 442 pages
...quiconque fait Je français, peut voyager par toute l'Europe . fans avoir befoin d'un interprète. L'ufage de cette langue étrangère fit encore du tort à la langue nationale, qui, ne reftant que dans la bouche du peuple,- ne pouvait acquérir ce ton de politefle qu'elle ne gagne que... | |
 | Frederick II (King of Prussia) - 1846 - 502 pages
...présent quiconque sait le français, peut voyager par toute l'Europe sans avoir besoin d'un interprète. L'usage de cette langue étrangère fit encore du...acquérir ce ton de politesse qu'elle ne gagne que dans la bonne compagnie. Le principal défaut de la langue est qu'elle est trop verbeuse ; il faut la resserrer,... | |
 | Frederick II (King of Prussia) - 1846 - 724 pages
...présent quiconque sait le français, peut voyager par toute l'Europe sans avoir besoin d'un interprète. L'usage de cette langue étrangère fit encore du...acquérir ce ton de politesse qu'elle ne gagne que dans la bonne compagnie. Le principal défaut de la langue est qu'elle est trop verbeuse; il faut la resserrer,... | |
 | François Charles Liskenne - 1851 - 998 pages
...l'Europe sans «oir besoin d'un interprète. L'usage 'le cette langue étrangère fit.encore du 'ort à la langue nationale, qui, ne restant que dans la bouche du peuple, ne [louvait acquérir ce ton de politesse qu'elle ne gagne que dans la bonne ie. Le principal défaut... | |
 | François Charles Liskenne - 1853 - 1022 pages
...présent, quiconque sait le français, peut voyager par toute l'Europe sans avoir besoin d'un interprète. L'usage de cette langue étrangère fit encore du...ne restant que dans la bouche du peuple, ne pouvait acquérir ce ton de politesse qu'elle ne gagne que dans la bonne compagnie. Le principal défaut de... | |
 | 1858 - 1248 pages
...présent, quiconque sait l£ français, peut voyager par toute l'Europe sans avoir besoin d'un interprète. L'usage de cette langue étrangère fit encore du...nationale, qui, ne restant que dans la bouche du peuple, nç pt.nvait acquérir ce ton de politesse qu'elle ne 'gr.gnn que dans la bonne compagnie, te principal... | |
 | Frederick II (King of Prussia) - 1866 - 568 pages
...présent quiconque sait le français peut voyager par toute l'Europe sans avoir besoin d'un interprète. L'usage de cette langue étrangère fit encore du...ne restant que dans la bouche du peuple, ne pouvait acquérir ce ton de politesse qu'elle ne gagne que dans la bonne compagnie. Le principal défaut de... | |
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L'usage de cette langue étrangère fit encore du tort à la langue nationale, qui ne restant que dans la bouche du peuple, ne pouvait point acquérir ce ton de politesse qu'elle ne gagne que dans la bonne compagnie. 
