Lettres spirituelles, Volume 2Poussielgue-Rusand, 1862 - 1116 pages |
Other editions - View all
Common terms and phrases
aban Adieu adorable anéanti anges avez bonté cendre chair charité cher choses chrétiens Christ ciel ciples cœur conduite consolation consommé continuellement corps créature croix crucifié demande demeure désire desseins devant Dieu devez devoirs Dieu le Père Dieu son Père dispositions divin esprit divin mystère divin sacrifice doit donne enfants entièrement envers époux état êtes exhorte une âme exhorte une personne extérieur fidèle Fils de Dieu gneur goûter grâces holocauste hommes hostie intérieur jamais Jésus Jésus-Christ joie jour l'âme l'amour l'Église l'époux l'esprit l'état l'oraison laisser LETTRE louanges majesté ment monde mort Notre-Sei Notre-Seigneur obligations opérations paix parfaite péché pécheurs peines pénitence perfection plaire porter présent propre pur amour religion remplir rendre ressuscité résurrection reux rien sacrifice sagesse saint Paul Saint-Esprit sainte Vierge sainteté sanctifier Seigneur sensible sentiments sera servir seul sorte souf souffrir sujet terre tion très-chère fille très-sainte Vierge vertu veut vivant vivre voies vous-même zèle
Popular passages
Page 438 - Derelinquat impius viam suam. et vir iniquus cogitationes suas, et revertatur ad Dominum, et miserebitur ejus, et ad Deum nostrum : quoniam multus est ad ignoscendum.
Page 477 - Mortui enim estis, et vita vestra est abscondita cum Christo in Deo. Cum Christus apparuerit, vita vestra: tune et vos apparebitis cum ipso in gloria.
Page 423 - Mon cher enfant, votre Madeleine est allée au sein de Dieu, où elle vit pour vous, et où elle attire votre cœur, sachant qu'elle n'y peut être trop aimée.
Page 508 - Cf. Joly, Psychologie des Saints, ch. v. — «Je me disais en moi-même, écrit M. Olier : Seigneur, je ne puis vous témoigner mon amour qu'en souffrant. Hélas! Seigneur, le moyen que je vive si je ne vous témoigne mon amour! Le souffrir vous en donnera l'assurance.
Page 434 - Lorsque vous étiez plus jeune, vous vous ceigniez vous-même, vous alliez où vousvouliez, et vous faisiezoe qu'il vous plaisait : mais lorsque vous serez vieux, un autre vous ceindra, et vous mènera par une voie pénible et rigoureuse à votre chair. C'est là ce que vous dit le Fils de Dieu, qui vous enseigne comme il faut passer le reste de vos jours, et qui veut que vous gémissiez incessamment dans le repentir de votre vie passée, ne vous restant de lemps en votre vieillesse que pour pleurer...
Page 378 - mes tiédeurs et faiblesses ordinaires) qu'il lui plût prendre une » nouvelle protection de votre Ordre, à présent que ce secours « sensible était absent, et que celle par les mains de laquelle il » semblait porter et diriger votre institut lui était ôtée.
Page 255 - Or je prétends , et c'est un point universellement reconnu, qu'une véritable contrition renferme comme une partie essentielle la volonté efficace de restituer, puisqu'elle renferme essentiellement la volonté efficace et le propos de rétablir toutes choses , soit à l'égard de Dieu , soit à l'égard du prochain, dans le même état qu'elles étoient avant le péché. Supposons donc, tant qu'il nous plaira, un homme qui se frappe devant Dieu la poitrine , qui gémisse aux pieds d'un ministre...
Page 332 - ... n'a plus rien à prétendre sur vous. Que j'aurai de joie quand je saurai que la victime séparée du reste du troupeau a été offerte et consacrée dans la maison du Seigneur, que le sacrifice a été achevé, et que Dieu enfin a dévoré son holocauste ! Que ce soit là la première nouvelle que j'apprenne de vous. Adieu.
Page 307 - M. Olier, était couvert d'une modestie écla« tante qui rejaillissait de la majesté de DIEU « habitant en son âme ; et cette beauté ravissait « les esprits et embaumait tellement les cœurs « de ceux qui l'approchaient , qu'ils se sentaient « secrètement portés à DIEU et tout remplis de « son amour. Sa bouche parlait si prudemment , « ses yeux regardaient si chastement , son main...
Page 351 - ... zèle pour la gloire de son Père et pour le salut des hommes, et il l'a poussé jusqu'à répandre son sang, afin de procurer l'un et l'autre. « Personne, dit-il, ne peut aimer » davantage ses amis, que de dou