La Semaine des familles: revue universelle hebdomadaire, Volume 7J. Lecoffre et cie., 1865 |
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1er avril ALFRED NETTEMENT arrive avaient BASAN beau belle c'était capitaine Catanio Charles CHARVET cher chose chrétiens ciel Claudine cœur Constantinople côté coup demande dernier Després devant Dieu dire dit-il donner dromone Durandeau Duranti église enfants faisait femme feu grégeois Flectanella FRÉDOU galerie Genesius gens GOUJUT Gratiolet Grecs Gregorio Allegri heures j'ai Jean Bart Jean Grant Jean le Long jette jeune fille jeune homme Joseph jour l'église l'empereur laisser Louis Veuillot Louis XIV MADELEINE Mahomet main maison maître Marie Marie Harel Marthe Mau-Jaunens ment mille Mme DE LUCEMONT monde monsieur mort n'avait Niveleur Notre-Dame parler paroles passer pauvre pensée père Biscuit petite peuple Pietro place poëte porte premier prince Prosper regard reste rien RUE BONAPARTE s'écria s'était saint savait SEMAINE DES FAMILLES sentiment sera seul Sidi-bel-Abbès siècle sorte suite prochainement tête tion trouve Turcs voilà voix Washington whist yeux
Popular passages
Page 137 - La mort a des rigueurs à nulle autre pareilles ; On a beau la prier, La cruelle qu'elle est se bouche les oreilles, Et nous laisse crier. Le pauvre en sa cabane, où le chaume le couvre, Est sujet à ses lois; Et la garde qui veille aux barrières du Louvre N'en défend point nos Rois. De murmurer contre elle et perdre patience II est mal à propos ; Vouloir ce que Dieu veut est la seule science Qui nous met en repos.
Page 272 - Sire, lui dis-je avec larmes, dans ce nouvel outrage je ne vois qu'un dernier trait de ressemblance entre votre majesté et le Dieu qui va être sa récompense.
Page 488 - Les voilà maîtres de la rivière, ils la passent, ils ravagent tout ce qui est entre la Somme et l'Oise, et tant que personne ne leur résiste, ils tiennent courageusement la campagne, ils tuent nos paysans et brûlent nos villages. Mais sur le premier bruit qui leur vient que Monsieur s'avance avec une armée, et que le roi le suit de près, ils se retirent, ils se retranchent derrière Corbie, et, quand ils apprennent que l'on ne s'arrête point, et que l'on marche à eux, tête baissée, nos...
Page 354 - Mes enfants, approchez, Approchez ; je suis sourd : les ans en sont la cause. » L'un et l'autre approcha, ne craignant nulle chose. Aussitôt qu'à portée il vit les contestants, Grippeminaud, le...
Page 310 - Et afin que la postérité ne puisse manquer à suivre nos volontés en ce sujet, pour monument et marque immortelle de la consécration présente que nous faisons - nous ferons construire de nouveau le grand autel de l'Église Cathédrale de Paris, avec une image de la Vierge qui tienne entre ses bras celle de son précieux Fils descendu de la Croix...
Page 433 - Voici un changement de scène qui vous paraîtra aussi agréable qu'à tout le monde. Je fus samedi à Versailles avec les Villars : voici comme cela va. Vous connaissez la toilette de la reine, la messe, le dîner; mais il n'est plus besoin de se faire étouffer, pendant que Leurs Majestés sont à table...
Page 412 - Deux sonnets partagent la ville, Deux sonnets partagent la cour, Et semblent vouloir à leur tour Rallumer la guerre civile. Le plus sot et le plus habile En mettent leur avis au jour, Et ce qu'on a pour eux d'amour A plus d'un échauffe la bile. Chacun en parle hautement, Suivant son petit jugement; Et, s'il y faut mêler le nôtre, L'un est sans doute mieux rêvé , Mieux conduit , et mieux achevé ; Mais je voudrais avoir fait l'autre.
Page 433 - Vous connaissez la toilette de la reine , la messe , le dîner ; mais il n'est plus besoin de se faire étouffer pendant que Leurs Majestés sont à table; car à trois heures le roi, la reine , MONSIEUR , MADAME , MADEMOISELLE , tout ce qu'il ya...
Page 144 - Copie de L'Extrait des délibérations de L'assemblée Générale de la Séance du cinq de la première décade du troisième mois de la seconde année de la République française une et indivisible. Appert que d'après le Rapport faite de la société fraternelle de la section des...
Page 271 - C'était le ministre de la justice (Garat le jeune), accompagné de quelques membres de la commune, qui venaient de lui lire le fatal décret qui fixait irrévocablement sa mort au lendemain.