Histoire des Français, Volume 13Wouters, frères, 1847 |
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Common terms and phrases
ambassadeurs armée assemblée avaient avoit Bassompierre Bazin Béarn Biron Brissac c'était Capefigue cardinal catholique cents chancelier charges clergé comte d'Auvergne comte de Soissons Concini connétable conseil cour d'Estrées Davila déclara demander députés devait donner duc d'Épernon duc de Bouillon duc de Guise duc de Mayenne duc de Rohan duc de Savoie Duplessis Mornay écus envoyé Espagnols états généraux étoit fils finances Fontenay Mar Fontenay Mareuil frère fût garnison gentilshommes gouvernement gouverneur Grisons guerres civiles Henri Henri IV Hist huguenots Ibid Jeannin Journal de l'Étoile l'assemblée l'Espagne laisser Lesdiguières ligue ligueurs Louis Louis XIII Louvre Luynes maison d'Autriche maréchal d'Ancre mariage Marie de Médicis Mém ministres n'avait n'était négociations noblesse pape parlement peuple Philippe Pontchartrain prince de Condé protestants provinces réformés reine mère religion Richelieu Rosny royales royaume s'était seigneurs seulement Sillery soldats Suisses Sully Thou tiers état troupes V. P. Cayet Valteline Vassor VIII Villeroi voulait
Popular passages
Page 352 - Dieu seul , il n'ya puissance en terre , quelle qu'elle soit, spirituelle ou temporelle, qui ait aucun droit sur son royaume, pour en priver les personnes sacrées de nos Rois...
Page 165 - Je ne vous ai point appelés, comme faisaient mes prédécesseurs pour vous faire approuver leurs volontés; je vous ai assemblés pour recevoir vos conseils, pour les croire, pour les suivre, bref pour me mettre en tutelle ' entre vos mains, envie qui ne prend guères aux rois, aux barbes grises et aux victorieux.
Page 164 - Si je voulais acquérir le titre d'orateur, j'aurais appris quelque belle et longue harangue, et la vous prononcerais avec assez de gravité ; mais, Messieurs, mon désir me pousse à deux plus glorieux titres, qui sont de m'appeler libérateur et restaurateur de cet État.
Page 401 - Il faut que je me remette à jouer du cor-de-chasse, ce que je fais fort bien, et veux être tout un jour à sonner. » Je lui dis : « Sire , je ne conseille pas à Votre Majesté d'en sonner trop souvent ;car , outre que cela fait venir les hargnes, il nuit encore grandement au...
Page 79 - Bien public, qui était de séparer par intérêts particuliers tous ceux qui étaient ligués contre lui sous des prétextes généraux; qui est ce que je veux essayer de faire maintenant, aimant beaucoup mieux qu'il m'en coûte deux fois autant en traitant séparément avec chaque particulier, que de parvenir à mêmes effets par le moyen d'un traité général fait avec un seul chef...
Page 365 - France à la liberté de conscience que l'on ya accordée , et a la protection que l'on ya prise de Genève et de Sedan ; que le clergé, assemblé à Paris à la face du Roi, a solennellement juré l'observation du concile de Trente sans la permission de Sa Majesté : ce qui fait qu'il la supplie de vouloir différer son partement...
Page 449 - Ainsi nous marchâmes jusques à la vue des ennemis , près de deux lieues , lesquels se jetèrent dans les vaisseaux et dans Saint-Gilles , et les autres mirent les armes bas , nous demandant miséricorde, sans rendre aucun combat. La cavalerie s'enfuit de même ; mais , ne pouvant faire une si longue retraite , la plupart furent tués en la suite de la victoire par les paysans. Il y mourut sur le champ, tués de sang-froid, sans résistance, plus de quinze cents hommes , et plus d'autant de prisonniers...
Page 79 - ... pour l'établissement de mon autorité et le soulagement de mes peuples. Ne vous souvient-il plus des conseils que vous m'avez tant de fois donnés...
Page 465 - Le parlement, voyant que, sous l'administration des ministres, les affaires étaient dans un si honteux abaissement, crut être obligé, par le devoir de leurs charges, d'en dire leurs sentimens au Roi. Leurs députés arrivèrent à Fontainebleau le 3 mai , avec commission de représenter à Sa Majesté la misère du peuple , la mauvaise conduite de ceux qui avoient la meilleure part au...
Page 279 - Car, pour ne vous en rien céler, l'on m'a dit que je devois être tué à la première magnificence que je ferois, et que je mourrois dans un carrosse. Et c'est ce qui me rend si peureux.