Études historiques et littéraires, Volume 1Michel Lévy Frères, 1854 |
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aime Alexis de Valon Alfred de Musset Alphonse Karr amour Armand Bertin aujourd'hui barreau beau Boileau bon sens Boulay-Paty Brizeux c'était charmante chose Claude des Huttes cœur Condé critique Dargaud Dieu dire drame écrit écrivain Emile Souvestre époque esprit étude fables femme génie genre George Sand Girardin goût Granier de Cassagnac Henry Murger histoire homme Horace humain j'ai jeune jour juge l'abbé de Chaulieu l'amour l'auteur l'esprit l'histoire Lachambeaudie laissé Lamartine langue littéraire littérature livre Louis XIV Louis XVI Lydie madame de Tracy main Marie Stuart mêlé ment monde monsieur morale mort Murger Nisard œuvres parler passé passion pensée peuple peut-être philosophie poëme poésie poëte poétique politique Ponsard pourtant public qu'un raison Raoul Desloges réformes reine reste Révolution française révolutionnaire rien roman Saint-Marc Girardin sais satire savait scène semble sentiments sérieux seul siècle socialisme sonnet sorte Sourd spirituel style tion tour vérité veux Viennet Vitet Voltaire vrai
Popular passages
Page 363 - Je chante ce héros qui régna sur la France Et par droit de conquête et par droit de naissance; Qui par de longs malheurs apprit à gouverner, Calma les factions, sut vaincre et pardonner, Confondit et Mayenne, et la Ligue, et libère, Et fut de ses sujets le vainqueur et le père.
Page 47 - N'a cy de moi que la moitié ; Une part te reste, elle est tienne ; Je la fie à ton amitié, Pour que de l'autre il te souvienne.
Page 232 - Tu grandis sans plaisir, tu tombas sans murmure. Rien d'humain ne battait sous ton épaisse armure : Sans haine et sans amour, tu vivais pour penser. Comme l'aigle régnant dans un ciel solitaire, Tu n'avais qu'un regard pour mesurer la terre, Et des serres pour l'embrasser.
Page 326 - Apollon de son feu leur fut toujours avare. On dit, à ce propos, qu'un jour ce dieu bizarre, Voulant pousser à bout tous les rimeurs françois, Inventa du sonnet les rigoureuses lois, Voulut qu'en deux quatrains de mesure pareille La rime avec deux sons frappât huit fois l'oreille, Et qu'ensuite six vers artistement rangés Fussent en deux tercets par le sens partagés. Surtout de ce...
Page 357 - Il me semble que l'esprit de politesse est une certaine attention à faire que, par nos paroles et par nos manières, les autres soient contents de nous et d'eux-mêmes.
Page 278 - JUAN Vous avez un fonds de santé admirable, des lèvres fraîches, un teint vermeil et des yeux vifs M.
Page 179 - Non, sous quelque drapeau que le barde se range, La muse sert sa gloire et non ses passions ! Non, je n'ai pas coupé les ailes de cet ange , Pour l'atteler hurlant au char des factions...
Page 265 - Il s'approcha de Virginie avec respect: nous le vîmes se jeter à ses genoux, et s'efforcer même de lui ôter ses habits; mais elle, le repoussant avec dignité, détourna de lui sa vue. On entendit aussitôt ces cris redoublés des spectateurs: ,,Sauvez-la! sauvez-la! ne la quittez pas...
Page 66 - Gaieté, génie heureux, qui fus jadis le nôtre, Rire dont on riait d'un bout du monde à l'autre, Esprit de nos aïeux, qui te réjouissais Dans l'éternel bon sens, lequel est né français, Fleurs de notre pays, qu'êtes-vous...
Page 68 - Les monts sont nivelés, la plaine est éclaircie; Vous avez sagement taillé l'arbre de vie; Tout est bien balayé sur vos chemins de fer ; Tout est grand, tout est beau, mais on meurt dans votre air.