 | Charles François Du Périer Dumouriez - 1848 - 546 pages
...offrit la présidence honoraire de cette académie ; il l'accepta pour la faire servir à ses vues. Une société de gens de lettres, marins et bas Normands , ne pouvait enrichir ni la littérature ni la langue française. C'étaient des juges d'amirauté , des marchands... | |
 | François Barrière, Mathurin Lescure - 1848 - 490 pages
...offrit la présidence honoraire de cette académie; il l'accepta pour la faire servir à ses vues. Une société de gens de lettres , marins et bas Normands , ne pouvait enrichir ni la littérature ni la langue française. C'étaient des juges d'amirauté , des marchands,... | |
 | Académie nationale des sciences, arts et belles-lettres de Caen - 1862 - 1156 pages
...cinq à six membres peu instruits. •» Une Société de gens de lettres, marins et bas-normands, ne pouvait guère enrichir ni la littérature, ni...française. Dumouriez demanda à chacun d'eux des mémoires : .1 l'un sur le commerce du Colenlin, à l'autre sur les produits du sol, à celui-ci sur la culture... | |
 | 1878 - 496 pages
...offrit la présidence honoraire de cette académie; il l'accepta pour la faire servir à ses vues. Une société de gens de lettres, marins et bas Normands, ne pouvait enrichir ni la littérature ni la langue française. C'étaient des juges d'amirauté , des marchands... | |
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... par son moral. Dumouriez avait trouvé à Cherbourg un établissement académique bien patenté, mais qui ne s'assemblait jamais, n'étaut composé que de cinq à six membres fort peu instruits. On lui offrit la présidence honoraire de cette académie... 