Études philosophiques sur le christianisme, Volume 1Auguste Vaton, 1845 |
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Alexandre de Humboldt âme animaux antiquité chap CHAPITRE choses chrétienne christianisme Cicéron ciel cœur conservation corps cosmogonie créa créateur création culte Cuvier déisme déluge Descartes Dieu Dieux dire divine doctrine dogme doit donner Égypte elle-même enfin Épictète esprit éternelle facultés force Genèse genre humain géologie Histoire de l'astronomie historien idée immortalité immortelle infini intelli intelligence jamais Jésus-Christ jour justice l'âme l'antiquité l'esprit humain l'homme l'humanité l'idée l'infini l'univers laissé langues livre lui-même lumière main Marc-Aurèle Marcel de Serres matière ment mière Moïse monde morale mystères nature nécessairement panthéisme parler parole pensée Pentateuque perfection philosophie Platon Plutarque preuve primitive principe puissance qu'un raison rapport récit de Moïse Religion naturelle reste résultat révélation révolutions du globe rien sagesse saint savant science Sénèque sens sentiment serait seul siècle société Socrate sorte stoïcisme superstition système terre théisme tion tradition trouve universel vérité religieuse Volney vrai
Popular passages
Page 199 - Nouvelle difficulté pire que la précédente ; car si les hommes ont eu besoin de la parole pour apprendre à penser, ils ont eu bien plus besoin encore de savoir penser pour trouver l'art de la parole...
Page 231 - ... sous le nom de la philosophie cartésienne. Je vois naître de son sein et de ses principes, à mon avis mal entendus, plus d'une hérésie ; et je prévois que les conséquences qu'on en tire contre les dogmes que nos pères ont tenus, la vont rendre odieuse, et feront perdre à l'Eglise tout le fruit qu'elle en pouvait espérer pour établir dans l'esprit des philosophes la divinité et l'immortalité de l'âme.
Page 9 - Le cœur sent qu'il ya trois dimensions dans l'espace, et que les nombres sont infinis; et la raison démontre ensuite qu'il n'ya point deux nombres carrés dont l'un soit double de l'autre. Les principes se sentent, les propositions se concluent; et le tout avec certitude, quoique par différentes voies.
Page 279 - II faut que l'homme se dépasse lui-même. « 0 la vile chose et abjecte que l'homme s'il ne s'élève au-dessus de l'humanité...
Page 231 - J'entends ceci, et je n'entends pas cela ; et sur ce seul fondement, on approuve et on rejette tout ce qu'on veut...
Page 98 - ... n'en diffèrent que par un degré de perfection mille fois plus grand : d'où résulte pour lui l'idée d'une sagesse qui les a conçus et d'une volonté qui les a mis à exécution ; mais de la plus haute sagesse, et de la volonté la plus attentive à tous les détails, exerçant le pouvoir le plus étendu avec la plus minutieuse précision.
Page 232 - L'esprit humain , dit Luther , est comme un «paysan ivre à cheval, quand on le relève d'un «côté il retombe de l'autre.
Page 57 - Je sens qu'il ya un Dieu, et je ne sens pas qu'il n'y en ait point; cela me suffit, tout le raisonnement du monde m'est inutile : je conclus que Dieu existe.
Page 397 - ... aujourd'hui les plus connus; qu'elle a, au contraire, mis à sec le fond de la dernière mer, et en a formé les pays aujourd'hui habités ; que c'est depuis cette révolution que le petit nombre des individus épargnés par elle se sont répandus et propagés sur les terrains nouvellement mis à sec, et par conséquent que c'est depuis cette époque seulement que nos sociétés...
Page 440 - Soyez féconds, multipliez, remplissez la terre, et l'assujettissez ; et dominez sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, et sur tout animal qui se meut sur la terre.