certains animaux farouches, des mâles et des femelles, répandus par la campagne, noirs, livides, et tout brûlés du soleil, attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté invincible ; ils ont comme une voix articulée,... De la nature des sociétés humaines - Page 150by Théobald Mitraud - 1855 - 409 pagesFull view - About this book
| Jean de La Bruyère - 1790 - 422 pages
...toujours nouvelle de contempler avec quelle férocité les hommes traitent d'autres hommes. L'on voit (*) certains animaux farouches , des mâles et des femelles répandus par la campagne , noirs , livides et tout brûlés du soleil , attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté... | |
| Marie Jacques Joseph Victorin-Fabre - 1810 - 306 pages
...Il nous transporte sous un ciel ardent, sur une terre arrosée de sueur ; et il nous fait voir: » Certains animaux farouches, » des mâles et des femelles, répandus par » la campagne , noirs, livides et tout brûiés M du soleil, attachés à la terre qu'ils fouillent » et qu'ils remuent avec une opiniâtreté... | |
| Alexander von Humboldt - 1814 - 402 pages
...dire avec une noble sévérité, Pan1our de l'espèce humaine. °On trouve (sous la zone torride ), certains animaux farouches, des mâles et des femelles , répandus par la campagne , noirs, livides et tout brûlég du soleil, attachés à la trrre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté... | |
| Jean de La Bruyère - 1820 - 440 pages
...toujours nouvelle de contempler avec quelle férocité les hommes traitent d'autres hommes. L'on voit * certains animaux farouches , des mâles et des femelles, répandus par la campagne, noirs , livides, et tout brûlés du soleil, attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté... | |
| Jean de La Bruyère - 1824 - 452 pages
...toujours nouvelle de contempler avec quelle férocité les hommes traitent d'autres hommes. L'on voit ' certains animaux farouches, des mâles et des femelles..., répandus par la campagne , noirs , livides, et tout brûlés du soleil, attachés à la terre cpi'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté... | |
| Jean de La Bruyère - 1829 - 818 pages
...toujours nouvelle de contempler avec quelle férocité les hommes traitent d'autres hommes. L\<n voit ' certains animaux farouches, des mâles et des femelles, répandus par la campagne, noirs, livides, et tout brûlés du soleil, attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté... | |
| François duc de La Rochefoucauld, Blaise Pascal, Jean de La Bruyère - 1834 - 776 pages
...toujours nouvelle de contempler avec quelle férocité les hommes traitent d'autres hommes. L'on voit1 certains animaux farouches, des mâles et des femelles..., répandus par la campagne , noirs , livides , et tout brûlés du solr-il , attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté... | |
| Blaise Pascal - 1839 - 702 pages
...toujours nouvelle de contempler avec quelle férocité les hommes traitent d'autres hommes. L'on voit ' certains animaux farouches, des mâles et des femelles, répandus par la campagne, noirs, livides, et tout brûlés du soleil, attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté... | |
| 1840 - 458 pages
...l'ironie et l'indignation du satirique animent les accents de ce véritable philanthrope ! « L'on voit certains animaux farouches, des mâles et des femelles, répandus par la campagne, noirs, livides, et tout brûlés du soleil, attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté... | |
| Philippe Le Geyt - 1846 - 584 pages
...différentes ; et pouvait-on faire de l'état des Jersiais un tableau plus lugubre que celui-ci ? " L'on voit certains animaux farouches, des mâles et des femelles, répandus par la campagne, noirs, livides, nus et tout brulés du soleil, attachés à la terre, qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté... | |
| |