Conversational French: A Reader for Beginners

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Allyn and Bacon, 1921 - 254 pages
 

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Popular passages

Page 80 - Père, qui êtes aux deux, que votre nom soit sanctifié. Que votre règne arrive. Que votre volonté soit faite sur la terre comme au ciel. Donnez-nous, aujourd'hui, notre pain quotidien. Et pardonneznous nos offenses, comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés.
Page 125 - La Cigale et la Fourmi. La cigale , ayant chanté Tout l'été, Se trouva fort dépourvue Quand la bise fut venue : Pas un seul petit morceau De mouche ou de vermisseau.
Page 160 - Râlant, brisé, livide, et mort plus qu'à moitié, Et qui disait : " A boire, à boire par pitié ! " Mon père, ému, tendit à son housard fidèle Une gourde de rhum qui pendait à sa selle, Et dit : " Tiens, donne à boire à ce pauvre blessé.
Page 191 - I/'llTOICATIF. j'avais reçu, tu avais reçu, il avait reçu, nous avions reçu. vous aviez reçu, ils avaient reçu. j'avais rendu, tu avais rendu, il avait rendu, nous avions rendu, vous aviez rendu, ils avaient rendu.
Page 191 - Que j'aie reçu Que tu aies reçu Qu'il ait reçu Que nous ayons reçu Que vous ayez reçu Qu'ils aient reçu...
Page 160 - Il lui sembla dans l'ombre entendre un faible bruit. C'était un espagnol de l'armée en déroute Qui se traînait sanglant sur le bord de la route, Râlant, brisé, livide, et mort plus qu'à moitié, Et qui disait : — A boire, à boire par pitié!
Page 128 - Et moi, dit l'ours, je soutiens qu'on m'avait fait une injustice, quand on me préféra le lion : je suis fort, courageux, carnassier, tout autant que lui ; et j'ai un avantage singulier, qui est de grimper sur les arbres.
Page 125 - La Cigale, ayant chanté Tout l'Été, Se trouva fort dépourvue Quand la bise fut venue. Pas un seul petit morceau De mouche ou de vermisseau. Elle alla crier famine Chez la Fourmi sa voisine, La priant de lui prêter Quelque grain pour subsister Jusqu'à la saison nouvelle. Je vous paierai, lui dit-elle, Avant l'Oût, foi d'animal, Intérêt et principal.
Page 50 - J'ai faim, ayez pitié de moi 1 Hier, c'était fête au village, A moi personne n'a songé ; Chacun dansait sous le feuillage, Hélas ! et je n'ai pas mangé. Pardonnez-moi si je demande, Je ne demande que du pain ; Du pain ! je ne suis pas gourmande ; Ah ! ne me grondez pas, j'ai faim.
Page 152 - Il connaissait le ciel bien mieux que son royaume, et quittait souvent son conseil pour la lune ou pour le soleil. Un soir qu'il retournait à son observatoire, entouré de ses courtisans : Mes amis, disait-il, enfin j'ai lieu de croire qu'avec mes nouveaux instruments je verrai, cette nuit, des hommes dans la lune. — Votre Majesté les verra, répondait-on ; la chose est même trop commune : elle doit voir mieux que cela.

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