Histoire générale des dogmes et opinions philosophiques: Depuis les plus anciens temps jusqu'à nos jours. Tirée du Dictionnaire encyclopédique, des arts & des sciences, Volume 2Bouillon, 1769 - 444 pages |
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Common terms and phrases
affez aftres ainfi ames anges atomes auffi avoient avoit c'eft c'eſt Caraïtes caufe cauſes ceffe chofes Chrétiens compofé conféquence confervation confidérer Confucius connoiffance connoître corps d'Ariftote de-là Démocrite Dieu Dieux difciples différens difoit difpute diverfes divinité doctrine efpece efprits Epicure eſt étoient étoit fage fageffe faint fans fauffe fcience feconde fecret fecte felon fens fentiment féparation feroit feul fiecle fimple fociété foient foit foleil font fous fouvent fouverain fubftance fubtil fuite fuivi fujet fyftême gémare Grecs Hobbes hommes idées infini Jerufalem jufqu'à Juifs l'ame l'efpace l'efprit l'hiftoire l'hiſtoire l'homme laiffé lefquels Léïbnitz Leucippe loix lorfqu'il lorfque lumiere maffe Maimonides matiere métaphyfique monade monde mouvement Moyfe n'eft n'eſt n'étoit nature néceffaire néceffité paffe paffions particuliere penfer perfonne peuple Pharifiens philofophie phyfique plaifir plufieurs poffible pouvoit premiere principe puiffance Rabbins raifon refte religion rien Saducéens Samaritains terre Thalès Thalmud tion univerfelle vuide Xénophane Zénon
Popular passages
Page 9 - D'autres que , pour ôter à Phalaris toute efpérance de connoître le fond de la conjuration , il fe coupa la langue avec les dents , & la cracha au vifage du tyran.
Page 323 - Il étoit colere , mais il revenoit promptement ; il s'indignoit d'abord de la contradiftion ; mais fon fecond mouvement étoit plus tranquille. On l'accufe de n'avoir été qu'un grand & rigide obfervateur du droit naturel : fes pafteurs lui en ont fait des réprimandes publiques & inutiles. On dit qu'il aimoit l'argent ; il avoit amaffé une fomme confidérable qu'il tenoit cachée.
Page 235 - Romains a fait voir en mille manières que leur courage est invincible ; ils ont souffert le fer et le feu plutôt que de vouloir dire la moindre parole contre leur législateur, ni manger des viandes qui leur sont défendues, sans qu'au milieu de tant de...
Page 252 - D'ailleurs, il étoit écrit dans une langue très-barbare , qui étoit celle qu'on parloit en Judée , & qui s'étoit corrompue par le mêlange des nations etrangeres. C'eft pourquoi les Amorréens, c'eftà-dire les commentateurs , commencerent une .nouvelle explication des traditions, R. Afe fe chargea de ce travail. Il...
Page 367 - Il fut encore un des feftateurs de la phyfique atomique. Il regardoit les corps comme compofés de particules indivifibles , & les plus petites poffibles , finies en grandeur , infinies en nombre ; mais leur accordoit-il d'autres qualités que la figure & la pofition , c'eft ce qu'on ignore , & par conféquent fi ces atomes étoient ou non les mêmes que ceux de Démocrite.
Page 329 - Or là où il n'ya point de parties, il n'ya ni étendue, ni figure, ni divisibilité possible. Et ces Monades sont les véritables atomes de la nature, et en un mot les Éléments des choses. 4. — Il n'ya aussi point de dissolution à craindre, et il n'ya aucune manière concevable par laquelle une substance simple puisse périr naturellement.
Page 40 - Quel sera donc le premier pas de notre philosophie morale , si ce n'est de rechercher en quoi consiste le vrai bonheur? Que cette étude importante soit notre occupation actuelle.
Page 171 - Il ya un premier Dieu, le plus ancien ; il n'a point eu de commencement, il n'aura point de fin. Ce Dieu est incompréhensible. Rien ne lui est caché; il voit au fond de nos cœurs.
Page 229 - ... ce que le fang coulât abondamment. Mais il y en avoit d'autres à qui ce titre avoit été donné, parce que marchant dans les rues les yeux baifles ou fermés , ils fe frappoient la tête contre les murailles.
Page 362 - Il mourut le 13 octobre 1715, âgé de soixante- dix-sept ans. Ce fut un rêveur des plus profonds et des plus sublimes. Une page de Locke contient plus de vérités que tous les volumes de Malebranche; mais une ligne de celui-ci montre plus de subtilité, d'imagination, de finesse et de génie, peut-être, que tout le gros livre de Locke.