| Elie-Catherine Fréron - 1753 - 452 pages
...pauvres qui ne travaillent point. Dans les païs de Comjnerccjoù beaucoup de gens n'ont que leurs arts, l'Etat eft fouvent obligé de pourvoir aux befoins des vieillards, des malades , des orphelins : un Etat bien policé tire cette fubfiftance du fond des .arts mêmes : il donne aux... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1759 - 748 pages
...n'en eil pas de même de celui qui a dix arpens de fonds pour vivre, & qui les partage à fes enfans. Dans les pays de commerce, où beaucoup de gens n'ont que leur art, l'état cft fouvent obligé de pourvoir aux befoins des vieillards, des malades & des orphelins. Un... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1767 - 684 pages
...n'en eft pas de même de celui qui a dix arpens de fonds pour vivre , & qui les partage à fes enfans. Dans les pays de commerce, où beaucoup de gens n'ont que leur art, l'état eft fouvent obligé de pourvoir aux befoins des vieillards , des malades & des orphelins. Un... | |
| Charles-Louis de Secondat de Montesquieu (baron de la Brède) - 1772 - 668 pages
...n'en eft pas de même de celui qui a dix arpens de fonds pour vivre, & qui les partage à fes enfans. Dans les pays de commerce, où beaucoup de gens n'ont que leur art , l'état eft fouvent obligé de pourvoir aux befoins des vieillards , des malades & des orphelins.... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1788 - 606 pages
...n'en est pas de même de celui qui a dix arpens de fonds pour vivre, et qui les partage à ses enfans. Dans les pays de commerce , où beaucoup de gens n'ont que leur art , l'état est souvent obligé de pourvoir aux besoins des vieillards , des malades et des orphelins.... | |
| Marie Jean Antoine Nicolas Caritat marquis de Condorcet - 1790 - 528 pages
...pas pauvre parce qu'il n'a rien , mais parce qu'il ne travaille pas. '- • • • • taux?* hôi"r Dans les pays de commerce où beaucoup de gens n'ont que leur métier , l'état eft fouvent obligé de pourvoir aux befoins des vieillards, des malades & des orphelins.... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1799 - 456 pages
...est pas de même de celui qui a dix arpents de fonds pour vivre , et qui les partage à ses enfants. Dans les pays de commerce, où beaucoup de gens n'ont que leur art, l'état est souvent obligé de pourvoir aux besoins des vieillards , des malades et des orphelins.... | |
| Charles-Louis de Secondat baron de Montesquieu - 1816 - 252 pages
...est pas de même de celui qui a dix arpents de fonds pour vivre , etqui les partage à ses enfants. Dans les pays de commerce , où beaucoup de gens n'ont que leur art , l'état est souvent obligé de pourvoir aux besoins des vieillards , des malades et des orphelins.... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1818 - 502 pages
...est pas de même de celui qui a dix arpents de fonds pour vivre, et qui les partage à ses enfants. Dans les pays de commerce, où beaucoup de gens n'ont que leur art, l'état est souvent obligé de pourvoir aux besoins des vieillards, des malades et des orphelins. Un... | |
| François Emmanuel Fodéré - 1825 - 642 pages
...et qu'il bâtirait des hôpitaux , s'exprime comme il suit , dans la question qui nous occupe : « Dans les pays de » commerce, où beaucoup de gens n'ont que » leur art , l'Etat est souvent obligé de pourvoir » aux besoins des vieillards , des malades et des » orphelins. —... | |
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