Le rossignol fait retentir ses doux accens dans ses vallons verdoyans, où l'on n'éprouve jamais les rigueurs de l'hiver; les vents n'y font jamais sentir leur bruyante haleine; et les rayons ardens du soleil ne peuvent percer le feuillage ombreux des... Le théâtre des Grecs, par le r.p. Brumoy - Page 371by Grecs - 1786Full view - About this book
| Pierre Brumoy - 1786 - 588 pages
...féjour le plus délicieux de l'Attique, à Colone, redevable à Neptune des beaux chevaux qu'oïl y admire. Le roffignol y fait retentir fes doux accens...marient par tout enfemble. Le riant Bacchus & fes joyeufes compagnes y fixent à perpétuité leur féjour '. i Voici ce qu'on lit dans Plutarque.au... | |
| Jean-Baptiste Lechevalier - 1802 - 334 pages
...chevaux qu'on y admire ; le rossignol y fait retentir ses doux accens dans des vallées verdoyantes , où l'on, n'éprouve jamais les rigueurs de l'hiver. Les vents n'y font point sentir leur haleine bruyante, et les rayons ardens du soleil y sont interceptés par des arbres chargés... | |
| Pierre Brumoy - 1820 - 486 pages
...à Colone , redevable à Neptune des beaux chevaux qu'on y admire. Le rossignol y fait retentir seS doux accens de tous côtés, dans des vallons verdoyans...les rigueurs de l'hiver ; les vents n'y font point sentir leur bruyante haleine ; et les rayons ardens du soleil y sont interceptés par des arbres chargés... | |
| Amédée Duquesnel - 1836 - 426 pages
...doit à Neptune les beaux chevaux qu'on y admire. Le rossignol fait retentir ses doux accens dans ses vallons verdoyans, où l'on n'éprouve jamais les rigueurs de l'hiver; les vents n'y font jamais sentir leur bruyante haleine; et les rayons ardens du soleil ne peuvent percer le feuillage... | |
| Amédée Duquesnel - 1845 - 830 pages
...beaux chenaux qu'on y admire. Le rossignol fait retentir ses doux accents dans ses vallons verdoyants , où l'on n'éprouve jamais les rigueurs de l'hiver; les vents n'y font jamais sentir leur bruyante haleine; et les rayons ardents du soleil ne peuvent percer le feuillage... | |
| M. AMEDEE DUQUESNEL - 1845 - 434 pages
...beaux chevaux qu'on y admire. Le rossignol fait retentir ses doux accents dans ses vallons verdoyants , où l'on n'éprouve jamais les rigueurs de l'hiver ; les vents n'y font jamais sentir leur bruyante haleine ; et les rayons ardents du soleil ne peuvent percer le feuillage... | |
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