Französische Phonetik für Lehrer und Studierende

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O. Schulze, 1888 - 186 pages
 

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Common terms and phrases

Popular passages

Page 142 - La perfection d'une langue est moins dans la richesse de son vocabulaire, dans la régularité de sa syntaxe, que dans sa souplesse et son aptitude à prendre sans effort toutes les formes qui conviennent le mieux à l'expression de la pensée; Pascal a eu raison de comparer une bonne langue à cette robe grecque dont les plis dessinent et accusent les lignes et les formes, au lieu de les couvrir et de les cacher. En second lieu, toute langue n'est en réalité qu'un anneau dans une chaîne non interrompue,...
Page 148 - Que la lumière soit » et la lumière fut. Dieu vit que la lumière était bonne, et Dieu sépara la lumière et les ténèbres. Dieu appela la lumière « jour » et les ténèbres « nuit ». Il y eut un soir et il y eut un matin : premier jour.
Page 150 - Puis Dieu dit : Que la terre produise de la verdure, de l'herbe portant de la semence, des arbres fruitiers donnant du fruit selon leur espèce et ayant en eux leur semence sur la terre. Et cela fut ainsi.
Page 148 - Dieu dit : Qu'il y ait une étendue entre les eaux, et qu'elle sépare les eaux d'avec les eaux. Et Dieu fit l'étendue, et il sépara les eaux qui sont au-dessous de l'étendue d'avec les eaux qui sont audessus de l'étendue.
Page 108 - The true solution of the difficulty probably is that the French accentuation is in a period of transition : the tradition of the older endstress still exists, but a general levelling of stress has taken place, so that the normal pronunciation of such a word äs Paris is probably (p • ar • i), which is heard äs (p : ar- i).
Page 148 - Au commencement, Dieu créa les cieux et la terre. La terre était informe et vide : il y avait des ténèbres à la surface de l'abîme, et l'esprit de Dieu se mouvait au-dessus des eaux.
Page 110 - Transscription hervorzuheben, um so einmal anschaulich zu machen, wie vieles an Lautqualität und Lautquantität, was wir uns als fest und unwandelbar vorzustellen pflegen, tatsächlich in jedem Augenblicke die verschiedenartigsten Gestalten annimmt, und daß die wirkliche Sprache im Unterschiede zur eingebildeten, aber in Übereinstimmung mit allem Existierenden, eigentlich nie ist, sondern ewig wird.
Page 19 - ¡ind o rií э. .&• erreicht hier das grösste beim sprechen vorkommende mass. Mundspalte weit geöffnet, entsprechend der distanz der beiden kiefer, und eine mehr rundliche ellipse bildend. Lippen neutral, jedenfalls nicht mehr gerundet. Zunge breit und flach im munde liegend, ähnlich wie bei der indifferenzlage.
Page 148 - Pendant que je rougis, mets ta main sur mon cœur. Que ton air inquiet me tourmente et me touche ! Ces deux mots sont si doux ; Mon cœur les dit si bien ! Tu ne les entends pas ? Prends-les donc sur ma bouche. Je fermerai les yeux : prends, mais ne m'en dis rien ! Cette nouvelle invitation au voyage vers Cythère, elle la renouvellera souvent dans sa vie.
Page 146 - C'est là que je voudrais m'en aller avec toi. Connais-tu la maison avec sa colonnade ? La chambre est bien parée, et le salon brillant, Et les marbres sculptés semblent, en me voyant, Dire : que t'at-on fait , ô pauvre enfant malade ? La connais-tu? C'est là, mon protecteur, dis-moi, C'est là que je voudrais m'en aller avec toi. Connais-tu la montagne élevée au nuage ? Le mulet y poursuit son chemin nébuleux, Le dragon y repose au fond d'un antre affreux , Et le torrent bondit avec le roc...

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