 | Edgar Allan Poe - 1864 - 392 pages
...tapotement, comme de quelqu'un frappant dou1 Tout ce préambule est écrit par le traducteur. — CB cement, frappant à la porte de ma chambre.. « C'est quelque...chambre ; ce n'est que cela, et rien de plus. » Ah I distinctement je me souviens que c'était dans le glacial décembre, et chaque tison brodait à son... | |
 | Edgar Allan Poe - 1885 - 150 pages
...ça, de là, j'entendis quelqu'un frapper, frapper doucement à la porte de ma chambre. " C'est un visiteur," murmuraije, " qui frappe à la porte de...ma chambre — Ce n'est que cela et rien de plus." xvn. " Que ce mot, soit le signal de ton départ, oiseau ou démon ! " criai-je en me redressant d'un... | |
 | 1897 - 870 pages
...la tête, presque assoupi , soudain il se fit un tapotement, comme de quelqu'un frappant doucement, frappant à la porte 'de ma chambre. C'est quelque...agonie. Ardemment je désirais le matin ; en vain, ttiTétais-je efforcé de tirer de mes livres un sursis à ma tristesse, ma tristesse pour ma Lénore... | |
 | Louis-Joseph Doucet - 1911 - 152 pages
...lecture du vieux bouquin à la page 123 ème du livre d'Edgar Poe, que j'ai apprise par cœur depuis: " Ah ! distinctement, je me souviens que c'était dans...vain, m'étais-je efforcé de tirer de mes livres un surcis à ma tristesse, ma tristesse pour ma Lénore perdue, pour la précieuse et rayonnante fille... | |
 | Edgar Allan Poe - 1916 - 798 pages
...la tête, presque assoupi, soudain il se flt un tapotement, comme de quelqu'un frappant doucement, frappant à la porte de ma chambre. « C'est quelque...son agonie. Ardemment je désirais le matin; en vain m'é1ais-je efforcé de tirer de mes livres un sursis à ma tristesse, ma tristesse pour ma Lénore... | |
 | Louis Seylaz - 1923 - 196 pages
...radieuse fille que les anges nomment Lénore, — sans nom ici-bas à jamais. 2° Etat définitif : Ah ! distinctement je me souviens que c'était dans...à son tour le plancher du reflet de son agonie... en vain m'étais-je efforcé de tirer de mes livres un sursis à ma tristesse, ma tristesse pour ma... | |
 | Célestin Pierre Cambiaire - 1927 - 346 pages
...nom, ici-bas à jamais. " Histoires grotesques et sérieuses, p. 338, 1865. " Ah, distinctement jt, me souviens que c'était dans le glacial décembre...à son tour le plancher du reflet de son agonie., en vain m'étais-je efforcé de tirer de mes livres un sursis à ma tristesse, ma tristesse pour ma... | |
 | Sture All n - 1999 - 370 pages
...la tête, presque assoupi, soudain il se fit un tapotement, comme de quelqu'un frappant doucement, frappant à la porte de ma chambre. "C'est quelque...de ma chambre; ce n'est que cela, et rien de plus." (p. 115) The first impression, reading this prose translation, is the unerring sense that this would... | |
 | 1918 - 1158 pages
...dodelinais de la tête, presque assoupi, soudain se fit un heurt Comme de quelqu'un frappant doucement, frappant à la porte de ma chambre. « C'est quelque...murmurai-je, qui frappe à la porte de ma chambre; Cela seul et rien de plus. » Ah! distinctement, je me souviens que c'é'.ait dans le glacial décembre,... | |
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... pendant que je donnais de la tête, presque assoupi , soudain il se fit un tapotement, comme de quelqu'un frappant doucement, frappant à la porte 'de ma chambre. C'est quelque visiteur, — murmurai-je, — qui frappe à la porte de ma chambre^ ce... 