Histoire universelle de l'Église catholique, Volume 27Gaume frères, 1848 |
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Alphonse de Liguori apostolique archevêque avaient Benoit XIV c'était cardinal catholique cent choses chrétienne Christophe de Beaumont Clément Clément XIII clergé cœur condamné congrégation consolation constitution curé dauphin déclaration décret demande devait Dieu diocèse doctrine donner ecclésias ecclésiastiques écrits écrivit églises enfants envoya évêques faisait fidèles fille Frédéric frère général gouvernement hommes jansénistes Jésuites Jésus-Christ jeune Joseph jour jugement l'abbé l'an l'archevêque l'assemblée l'Eglise l'évêque laissé lettre livres long-temps Lorraine Louis XVI lui-même maison malade ment ministre missionnaires missions mort mourut n'avait n'était Naples nation nationale nommé non-seulement ordre Overberg Pape parlement pasteur père personnes peuple philosophie Pie VII piété Pologne Pontife Possagno prélat premier prêtres prières prince princesse prison protestants Proyart Prusse reine religieux religion répondit révolution révolutionnaire romaine Rome royaume Russie s'était sacrements saint Liguori Saint-Siége sainte Vierge schismatique schisme Seigneur serait seul siècle sœur suivant théologie tion trône trouva vicaire Voltaire zèle
Popular passages
Page 653 - Je jure et promets à Dieu, sur les saints Évangiles, de garder obéissance et fidélité au gouvernement établi par la constitution de la république française. Je promets aussi de n'avoir aucune intelligence, de n'assister à aucun conseil, de n'entretenir aucune ligue, soit au dedans, soit au dehors, qui soit contraire à la tranquillité publique, et si dans mon diocèse, ou ailleurs, j'apprends qu'il se trame quelque chose au préjudice de l'État, je le ferai savoir au gouvernement.
Page 548 - La convention nationale déclare Louis Capet, dernier roi des Français, coupable de conspiration contre la liberté de la nation, et d'attentat contre la sûreté générale de l'État.
Page 652 - Le gouvernement de la république française reconnaît que la religion catholique, apostolique et romaine, est la religion de la grande majorité des citoyens français. || Sa Sainteté reconnaît également que cette même religion a retiré et attend encore en ce moment le plus grand bien et le plus grand éclat de l'établissement du culte catholique en France, et de la profession particulière qu'en font les consuls de la république.
Page 653 - Sainteté déclarera aux titulaires des évêchés français qu'elle attend d'eux, avec une ferme confiance, pour le bien de la paix et de l'unité, toute espèce de sacrifices, même celui de leurs sièges. D'après cette exhortation...
Page 488 - Et moi je te dis : tu es Pierre et sur cette pierre je bâtirai mon Eglise et les portes de l'enfer ne prévaudront pas contre elle.
Page 199 - ... finesse et quelle justesse dans ses réponses ! quel empire sur ses passions ! Où est l'homme, où est le sage qui sait agir, souffrir et mourir, sans faiblesse et sans ostentation...
Page 189 - Il n'y en a pas un seul qui , venant à connaître le vrai et le faux, ne préférât le mensonge qu'il a trouvé à la vérité découverte par un autre. Où est le philosophe qui, pour sa gloire, ne tromperait pas volontiers le genre humain?
Page 550 - Uniquement occupé de mon devoir, convaincu que tous ceux qui ont attenté ou qui attenteront par la suite à la souveraineté du peuple méritent la mort, je vote pour la mort!
Page 482 - Je jure de veiller avec soin sur les fidèles de la paroisse qui m'est confiée, d'être fidèle à la nation, à la loi et au roi, et de maintenir de tout mon pouvoir la constitution décrétée par l'Assemblée Nationale et acceptée par le roi.
Page 654 - Il est convenu entre les parties contractantes que, dans le cas où quelqu'un des successeurs du premier consul actuel ne serait pas catholique, les droits et prérogatives mentionnés dans l'article ci-dessus, et la nomination aux évêchés, seront réglés, par rapport à lui, par une nouvelle convention.