Bibliothèque d'histoire révolutionnaire, Volumes 4-6

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E. Guilmoto, 1912
 

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Popular passages

Page 104 - C'est à elle qu'on montre les grands mystères purs et la naissance même du Jour et de la Nuit. Car elle a des yeux pour ne pas voir et des oreilles pour ne pas entendre et une bouche qui est pour ne pas parler.
Page 8 - Des Erreurs et de la Vérité , ou les hommes rappelés au principe universel de la science, par un Ph...
Page 110 - C'est de la composition de l'Assemblée que dépendent nos destinées. Il faut qu'elle soit animée de l'esprit révolutionnaire, sinon nous marchons à la guerre civile et à l'anarchie. A ce sujet, mettez-vous en garde contre les intrigues des hommes à double visage, qui, après avoir servi la royauté, se disent les serviteurs du peuple.
Page 69 - C'est une œuvre purement scientifique qu'elle poursuit. Elle ne limite pas le champ de ses recherches à Robespierre et à son groupe.
Page 175 - Honneurs funèbres militaires. Art. 53. — II est rendu des honneurs funèbres par les troupes au Président de la République, aux présidents du Sénat et de la Chambre des députés, aux Ministres et aux sous-secrétaires...
Page 36 - La municipalité a été introduite à la barre ; le maire a annoncé que tout était disposé pour l'exécution de la fête civique, et a invité l'Assemblée à y assister. Le citoyen Debri qui en avait donné le plan, introduit à la barre, a offert ses hommages à l'Assemblée. Le président de la...
Page 39 - Ce grand artiste venait souvent dans l'espoir de faire poser son modèle; mais cela causait à Bonaparte tant d'ennui, de dégoût et d'impatience, qu'il ne posait que fort rarement et pendant très -peu de temps. La ressemblance s'en est ressentie. Cependant il avait pour Canova les plus grands égards; chaque fois qu'on l'annonçait, le premier consul m'envoyait lui tenir compagnie jusqu'au moment où il pourrait lui donner une séance; mais il haussait les épaules en me disant : « Encore »...
Page 183 - Ricord et moi , quand son mari et mon frère allaient en tournée , ce qui arrivait souvent. Pendant mon séjour à Nice je n'allai que trois fois au spectacle. La première fois nous fûmes respectées; la seconde fois , on s'empara avant notre arrivée de la loge que nous avions louée; la troisième enfin, on nous jeta des pommes qui ne nous atteignirent point. Le général Dumerbion s'en aperçut , et nous envoya prier par un de ses aides-de-camp de passer dans sa loge. On n'osa plus rien nous...
Page 148 - On aurait peine à distinguer le département d'un des faubourgs de l'Italie, la police des cultes y est sans vigueur, les signes extérieurs du culte, surtout les croix, se voient partout ; les prêtres catholiques portent ostensiblement leur costume ; les fêtes catholiques sont célébrées avec pompe et affectation ; les fêtes républicaines sont complètement délaissées ». CHAPITRE X La "Vie à INice.

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