Tableau de l'Espagne moderne, Volume 1Tourneisen fils, 1807 |
Other editions - View all
Common terms and phrases
alcaldes années arts assez Asturies avaient beau Bilbao Biscaye Biscayens botanique Burgos canton capitale cent Charles III château comte conseil de Castille corregidors Cortès côté cour d'Espagne cour de Madrid d'Aranda d'autres décoration don Joseph draps drid édifices environ espa Espagne Espagnols étrangers fabriques façade Ferdinand Florida forme goût gouvernement grandesse Guadalaxara guerre Guipuscoa habitans Irun j'ai jardins jusqu'à justice l'Escurial l'Europe l'inquisition laines laines d'Espagne lieues livres long-temps Madrid maisons ment Merinos mille ministre montagnes moutons nation nommé Olavidé ouvrage pagne palais passer patriotique pays pendant peut-être Philippe Philippe IV Pisuerga place porte pré premier présent presque prince principaux prouve provinces qu'à race espagnole réaux reste rois d'Espagne route royale royaume royaume de Valence Saint-Ander Saint-Ildefonse Saint-Office Salamanque Ségovie seul Séville siècle sorte souvent souverain succès surtout tableaux talens tion Titien titre toison tribunal trône troupeau trouve Valladolid vaste voyage voyageurs
Popular passages
Page 385 - Il vint ensuite se fixer à Paris , où , sous le nom de comte de Pilos, il mena, au sein des arts et de l'amitié, une vie heureuse et paisible, qui l'eut bientôt consolé de la perte de ses places et de son crédit.
Page 1 - Vittoria , etc. ./Vu mois de septembre 1777 , je passai en Espagne, pour la première fois, comme secrétaire de l'ambassade de France, peu de mois après que le principal ministère de cette puissance eût été renouvelé, et lorsqu'il s'agisssait de sonder , de développer ses dispositions relativement à la grande querelle de l'Amérique septentrionale avec sa métropole. ( i ). Des trois routes connues de tout temps , je me décidai pour celle de Saint- Jean de...
Page 225 - Ces deux souverains sont à genoux, et semblent abaisser leur majesté devant le roi des rois. Ils occupent le devant d'une espèce de chambre ouverte du côté de l'autel et revêtue intérieurement de marbre noir. Ces deux monumens ont quelque chose de lugubre à la fois et de pompeux. En les contemplant, on ne peut se défendre d'une rêverie religieuse sur le néant des grandeurs humaines et sur l'abyme qui les engloutit.
Page 24 - En 1718, le ministre Patinho voulant les forcer à les recevoir , pensa y causer une insurrection. Lorsqu'en 1778 , le commerce de l'Amérique espagnole fut. étendu à plusieurs ports de la métropole , ils auraient pu y faire participer les leurs , s'ils avaient...
Page 387 - ne veut pas la mort du pécheur, mais qu'il se convertisse et qu'il vive *, » prolonge souvent le temps de la pénitence.
Page 179 - Cette assemblée nationale, toute informe, toute incomplète qu'elle était, éprouva cependant un instant le sentiment de sa force, et fut sur le point de le manifester. Déjà quelques orateurs intrépides se préparaient à exprimer leurs doléances sur quelques-uns des abus les moins tolérables. C'eût peut-être été le signal d'une révolution. La cour le prévint, comme si elle avait eu le pressentiment de ce qui allait se passer en France : les Cortès furent poliment congédiées, et se...
Page v - D'après les préjugés dont l'Espagne est encore l'objet pour le reste de l'Europe, on croirait qu'on n'a sur elle que ces notions embellies ou défigurées que les romans fournissent, ou que ces notions surannées que l'on puise dans les mémoires d'un temps reculé ; on la supposerait plutôt à l'extrémité de l'Asie qu'à celle de l'Europe