Comme un coursier indompté hérisse ses crins, frappe la terre du pied et se débat impétueusement à la seule approche du mors , tandis qu'un cheval dressé souffre patiemment la verge et l'éperon, l'homme barbare ne plie point sa tête au joug que... Opere inedite [ed. by G. Massari]. - Page 62by Vincenzo Gioberti - 1860Full view - About this book
| Jean-Jacques Rousseau - 1817 - 656 pages
...de Persépolis; mais tu ne peux connaître les plaisirs du mien. Comme un coursier indomté hérisse ses crins, frappe la terre du pied et se débat impétueusement...verge et l'éperon , l'homme barbare ne plie point sa tête au joug que l'homme civilisé porte sans murmure , et il préfère la plus orageuse liberté... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1817 - 468 pages
...un coursier indompté hérisse ses crins, frappe la terre du pied et se débat impétueuse- . ment à la seule approche du mors , tandis qu'un cheval...verge et l'éperon , l'homme barbare ne plie point sa tête au joug que l'homme civilisé porte sans murmure , et il préfère la plus orageuse liberté... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1817 - 468 pages
...Persépolis; mais tu ne peux connpître les plaisirs du mien. Comme un coursier indompté hérisse ses crins, frappe la terre du pied et se débat impétueusement à la seule approche du, mors , tandis qu'un phcval dressé .souffre patiemment la verge et .l'éperon , l'homme barbare ne plie point sa tête... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1819 - 368 pages
...Persepolis ; mais tu ue peux connaître les plaisirs du mien. Comme un coursier indompté hérisse ses crins , frappe la terre du pied et se débat impétueusement...verge et l'éperon , l'homme barbare ne plie point sa tête au joug que l'homme civilisé porte sans murmure , et il préfère la plus orageuse liberté... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1819 - 470 pages
...plus atta• chés à un prince juste, que ceux qui abhorrent les tyrans. • Traduction île ment à la seule approche du mors, tandis qu'un cheval...verge et l'éperon , l'homme barbare ne plie point sa tête au joug que l'homme civilisé porte sans murmure , et il préfère la plus orageuse liberté... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1826 - 438 pages
...de Persépolis; mais tu ne peux connoltre les plaisirs du mien. Comme un coursier indompté hérisse ses crins, frappe la terre du pied et se débat impétueusement...souffre patiemment la verge et l'éperon, l'homme bar* Ce n'est pas là précisément l'idée de Pline dans le passage ciaprès, le seul auquel ceci... | |
| Jean Jacques Rousseau - 1826 - 442 pages
...Persépolis ; mais tu ne peux connoître les plaisirs du mien. Comme un coursier indompté hérisse ses crins , frappe la terre du pied et se débat impétueusement...souffre patiemment la verge et l'éperon , l'homme bar* Ce n'est pas là précisément l'idée de Pline dans le passage ciaprès, le seul auquel ceci... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1832 - 488 pages
...celle dePersépolis, maistunepeuxconnoitre les plaisirs dumien. Comme un coursier indompté hérisse ses crins, frappe la terre du pied et se débat impétueusement...verge et l'éperon , l'homme barbare ne plie point sa tête au joug que l'homme civilisé porte sans murmure , et il préfère Ja plus orageuse liberté... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1857 - 548 pages
...Persépolis ; mais lu ne peux connaître les plaisirs du mien. » Comme un coursier indompté hérisse ses crins, frappe la terre du pied et se débat impétueusement à la seule approche du mors , tandisqu'un cheval dressé souffre patiemment la verge et l'éperon, l'homme barbare ne plie point... | |
| Jean Jacques Rousseau - 1917 - 532 pages
...Persépolis ; mais tu ne peux connoitre les plaisirs du mien. > Comme un coursier indompté hérisse ses crins, frappe la terre du pied et se débat impétueusement à la soule approche du mors, tandis qu'un cheval dressé soulïre patiemmciit la verge et l'éperon, l'homme... | |
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