L'athéeFournier, 1836 |
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affreux aime amour Berval besoin bonheur breuse c'était château d'Estavayer cher chercher chose ciel cœur comte d'Olbreuse comte de Villermont comtesse consolations coupable courage Courbevoie craint crime croire croyait croyances d'Emma d'Ol désirs devant devoir Dieu dit-il douleur doute duc d'Estavayer duchesse écou Élisa Emma enfin époux éprouve espérances esprit êtes eût faible femme femme force grace Hélas homme idées instans j'ai jeter jeune fille jour justice l'abbé de Verneuil l'abbé Germont l'ame l'amour l'esprit l'homme laisser larmes long-temps madame de Viller madame de Villermont main malheur ment monde monsieur Montreuil mort mourir neuil paroles passer passions pensée père peut-être position pourrait poursuivit-il pouvait prêtre principes qu'un raison rait regards religion rien s'écria Saint-Estève sais sait saurait sauver savait scepticisme semblable semble sent sentimens serait seul sorte souf terre tion triste trouver venait vérité vertu Verzinel vient voix yeux Zoé
Popular passages
Page 375 - Ce n'est pas une spéciale considération, ny deux, ny trois, ny quatre, ny mille : c'est je ne sçay quelle quinte essence de tout ce meslange, qui, ayant saisi toute ma volonté, l'amena se plonger et se perdre dans la sienne ; qui, ayant saisi toute sa volonté, l'amena se plonger et se perdre en la mienne, d'une faim, d'une concurrence pareille.
Page 371 - Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et qui êtes chargés, et je vous soulagerai. 29. Prenez mon joug sur vous, et apprenez de moi que je suis doux et humble de cœur, et vous trouverez le repos de vos âmes-, 30.
Page 55 - ... vantage; que j'aurais préféré même à M. Du» mont. — Hé ! quel est-il, ma Sara ? — Je vous le » dirai : ne me parlez plus de rien. Dans peu l'oc» casion se présentera de vous ouvrir mon cœur. » Tout ce que je puis vous dire, en ce moment, » c'est que votre société est le seul genre de bon» heur que je désire. Ne m'objectez ni votre âge, » ni autre chose : vous avez fait naître dans mon » cœur des sentiments d'attachement et de con» fiance, que je préfère à tous les...
Page 346 - Après deux ans on me creva les yeux et on m'a retenu prisonnier jusqu'à présent. « Le premier usage que j'ai fait de ma liberté a été de me présenter devant Votre Sainteté. Je la conjure de me faire juger selon la justice, moi qui ai dû, selon les canons, être renvoyé à votre tiibunal.
Page 299 - L'Athée, loin d'être un caractère d'exception, est « l'expression du siècle ; c'est le produit, c'est la personnification de l'époque, et s'il ya en lui une sorte d'individualité, c'est que, quand le lien social est rompu, il faut bien que chaque homme se fasse une existence à part » . Un demi-siècle de frottements avec toutes les nations du globe a effacé chez les Français...
Page 170 - Ce même Galiani, dans le même ouvrage, dit que ce qui est gagné par les uns est nécessairement perdu par les autres ; il montre en cela qu'un écrivain , même très-ingénieux, peut ne pas savoir tirer les conséquences les plus simples , et peut passer à côté d'une vérité sans l'apercevoir; car , s'il peut y avoir de la richesse...
Page 146 - ... pour exprimer cette morne, muette et sourde stupidité qui nous transit, lorsque les accidents nous accablent surpassant notre portée. De vrai, l'effort d'un déplaisir, pour être extrême, doit étonner toute l'âme, et lui empêcher la liberté de ses actions : comme il nous advient, à la chaude alarme d'une bien mauvaise nouvelle, de nous sentir saisis, transis, et comme perclus de tous mouvements, de façon que l'âme se relâchant après aux larmes et aux plaintes, semble se déprendre,...
Page 273 - Créés pour mériter le bonheur et non pour «être heureux, tout sur cette terre est préparé « pour le combat et rien pour la victoire ; car la « victoire n'est pas de ce monde.
Page 50 - L'athéisme! — voilà, oui, voilà le monstre dont le souffle impur a desséché toutes les vertus; l'athéisme, voilà le fléau sous lequel doit s'écrouler notre moderne Jérusalem ; l'athéisme, qui depuis un demi-siècle sape les...
Page 11 - Il vit, il respire! s'écria la pauvre mère, qui, tout absorbée dans son fils, n'avait rien vu, rien entendu de ce qui se passait autour d'elle.