 | Damaze de Raymond - 1812 - 172 pages
...la Niagara, qui , dans le calme de la nuit, se prolongeaient de déserts en déserts , et expiraient à travers les forêts solitaires. La grandeur , l'étonnante mélancolie de ce tableau ne sauraient s'exprimer dans les langues humaines ; les plus belles nuits en Europe ne peuvent en donner... | |
 | Antonio Scoppa - 1812 - 614 pages
...de Niagara, qui, dans le cï.hue de la nui-t, se prolongeaient de désert en désert, et expiraient à travers les forêts solitaires. La grandeur, l'étonnante mélancolie de ce tableau, ne sauraient s'exprimer dans des langues humaines ; les plus belles mùu eu Europe ue peuvcut » VI. La... | |
 | François-René vicomte de Chateaubriand - 1815 - 284 pages
...cataracte de Niagara, qui, dans le calme de la nuit, se prolongeaient de désert en désert, et expiraient à travers les forêts solitaires. La grandeur, l'étonnante mélancolie de ce tableau, ne sauraient s'exprimer dans les langues humaines ; les plus belles nuits en Europe ne peuvent en donner... | |
 | Nicolas Gouin Dufief - 1823 - 634 pages
...et interrompus de la hulotte ; mais au loin, par intervalles, ou entendait les roulemens solemnels de la cataracte de Niagara, qui, dans le calme de la nuit, se prolongeaient île désert, en désert, et expiraient à travers les forêts solitaires. ne peuvent... | |
 | Timothy Flint - 1828 - 828 pages
...rares et interrompus de la hulotte; mais au loin, par intervalles, on entendait les roulemens solennels de la cataracte de Niagara, qui, dans le calme de la nuit, se prolongeaient de désert en désert, et expiraient à travers les forets solitaires. ' La grandeur,... | |
 | François-René vicomte de Chateaubriand - 1831 - 460 pages
...subit, le gémissement de la hulotte; au loin, par intervalles, on entendoit les sourds mugissements de la cataracte de Niagara, qui, dans le calme de...grandeur, l'étonnante mélancolie de ce tableau, ne sauraient s'exprimer dans les langues humaines; les plus belles nuits en Europe ne peuvent en donner... | |
 | 1832 - 598 pages
...subit, le gemissement de la hulotte ; au loin par intervalles, on entendoit les sourds mugissements de la cataracte de Niagara, qui, dans le calme de la nuit, se prolongeoient de desert en desert, et expiroient a travers les forets solitaires." — torn. xi. pp. 256—258. " Style"... | |
 | 1834 - 632 pages
...et interrompus de la hulotte ; mais au loin, par intervalles, on entendait les roulemens solemnels de la cataracte de Niagara, qui, dans le calme de la nuit, se prolongeaient de désert, en désert, et expiraient à travers les forêts solitaires. ne peuvent en... | |
 | 1835 - 344 pages
...et interrompus de la hulotte ; mais au loin, par intervalles, on entendoit les roulements solennels de la cataracte de Niagara, qui, dans le calme de...grandeur, l'étonnante mélancolie de ce tableau, ne sauraient s'exprimer dans des langues humaines ; les plus belles nuits en Europe ne peuvent en donner... | |
 | François Noel - 1835 - 596 pages
...interrompus de la hulotte ' ; mais au loin, par intervalles , on cntendoit les roulements solennels lent se soustraire au mouvement général ; on les voit se porte prolongeoicnt de désert en désert , et expiroient à travers les forêts solitaires. La grandeur,... | |
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... de la cataracte de Niagara, qui, dans le calme de la nuit, se prolongeaient de désert en désert, et expiraient à travers les forêts solitaires. 
