Dictionnaire universel d'histoire naturelle, Part 1, Volume 9 - Part 12, Volume 9Au bureau principal des éditeurs, 1847 |
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Common terms and phrases
ailes allongé animaux antennes Arbrisseaux assez Blainville blanc Blume bord Brésil Buffon calice caractères carpelles cavité Coléoptères pentamères compose coquille corolle corps côté court CRUST Crustacés Curculionides Cuvier Dejean Catalogue dents développement Diptères distincts division épais établi étamines externe famille femelles feuilles fleurs fœtus folioles forme fossiles fruit Genre de Coléoptères Genre de l'ordre graines groupe Herbes inférieure Insectes interne l'Amérique l'embryon L'espèce type l'incubation l'œuf l'Ours l'ovaire Lamellicornes latérales Lindl Linné lobes mâchoire måle Mammifères membrane ment nombre œufs Oiseaux organes originaire ornithologistes Ovaire ovale ovules Oxyrhynques Paon Paradisiers parois Passiflora pattes peau pèces pédoncules pentamères périanthe pétales petits pistil placenta plantes poils Poissons postérieure première presque Prodr quelquefois queue renferme rieure Scarabéides section sessiles seule espèce souvent stigmate Suites à Buffon supérieure tête tétramères de Latreille tige tion tribu tube Vertébrés vitelline vitellus vivipares vulgaire
Popular passages
Page 36 - ... à nous fuir, ne quittent pas les bois et les lieux escarpés des montagnes, où ils vivent loin de nous et seuls avec la Nature qui d'avance leur a dicté ses lois et donné les moyens de les exécuter ; elle retient la gelinotte sous l'ombre épaisse des sapins; le merle solitaire sur son rocher...
Page 219 - Lorsqu'il a faim , il va chercher une fourmillière ; dès qu'il a fait cette bonne trouvaille , il regarde tout autour de lui , pour voir si tout est tranquille et s'il n'ya point de danger ; il ne mange, jamais sans avoir pris cette précaution , alors il se couche , et , plaçant son groin tout près de la...
Page 439 - Une aigrette mobile et légère, peinte des plus riches couleurs, orne sa tête et l'élève sans la charger : son incomparable plumage semble réunir tout ce qui flatte nos yeux dans le coloris tendre et frais des plus belles fleurs, tout ce qui les éblouit dans les reflets pétillants* des pierreries, tout ce qui les étonne dans l'éclat majestueux de l'arc-en-ciel...
Page 11 - Comme rien ne peut exister s'il ne réunit les conditions qui rendent son existence possible, les différentes parties de chaque être doivent être coordonnées de manière à rendre possible l'être total, non...
Page 36 - L'aigle ne quitte point ses rochers, ni le héron ses rivages : l'un fond du haut des airs sur l'agneau, qu'il enlève ou déchire par le seul droit que lui donne la force de ses armes, et par l'usage qu'il fait de ses serres cruelles ; l'autre , le pied dans la fange , attend , à l'ordre du besoin , le passage de la proie fugitive. Le pic n'abandonne jamais la tige des arbres...
Page 373 - Qui ont cinq doigts à tous les pieds, bien complets dans le squelette, mais tellement encroûtés dans la peau calleuse qui entoure le pied, qu'ils n'apparaissent au dehors que par les ongles attachés sur le bord de cette espèce de sabot. Les canines et les incisives proprement dites leur manquent, mais dans leurs os incisifs sont implantées deux défenses qui sortent de la bouche et prennent souvent un accroissement énorme. La grandeur nécessaire...
Page 438 - ... la figure noble, les proportions du corps élégantes et sveltes, tout ce qui annonce un être de distinction lui a été donné.
Page 439 - ... toutes les couleurs du ciel et de la terre pour en faire le chef-d'œuvre de sa magnificence; elle les a encore mêlées , assorties , nuancées , fondues de son inimitable pinceau, et en a fait un tableau unique, où elles tirent de leur mélange avec des nuances plus sombres, et leurs oppositions entre elles, un nouveau lustre et des effets de lumière si sublimes, que notre art ne peut ni les imiter ni les décrire.
Page 147 - Comme elle le gênait dans ta marche, il la roula deux fois autour de son corps , et en laissa pendre l'extrémité sur son épaule. Quand ensuite il s'aperçut qu'elle n'y tenait pas, il la plaça dans sa bouche. On le laissa enfin circuler librement dans le navire, et il devint familier avec les matelots, qu'il surpassait en agilité. Ils...
Page 219 - ... il tire la langue tant qu'il peut, les Fourmis montent dessus en foule, et, dès qu'elle en est bien couverte, il la retire et les gobe toutes : ce jeu recommence plusieurs fois et jusqu'à ce qu'il soit rassasié. Afin de lui procurer plus aisément cette nourriture, la nature toute sage a fait en sorte que la partie supérieure de cette langue, qui doit recevoir les Fourmis , est toujours couverte et comme enduite d'une...