Revue du nord: Archives de l'ancienne Flandre, Volume 5Élie Benjamin Joseph Brun-Lavainne Vanackere fils., 1836 |
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ADÈLE ALBERT âme amour assez avons Baisieux beau belle BERNARD bonheur BRUN-LAVAINNE c'était Cambrai CANTON DE CARNIÈRES Cantorbéry Câtillon Cattenières chant char Charles-le-Chauve château chœur chose chrétienne chronique ciel Clairmarais cœur comte comte de Flandre Crassus croix Cunégonde Cysoing dame devant Dieu Douai douce doux Ducis église enfans enfant époque Ernest femme fesant Flandre fleurs Florinna froid Gaëtan génie GEORGES habitans Henri homme jeune fille jour justice l'abbaye l'amour l'auteur l'église l'homme ladite laisser lecteurs Lépide Lille long-temps Loos Louis VII main malheur Mascara MAURIN ment mère messieurs moëllons morale mort murs Ohio Orchies Ovide Paolina paroles passe pauvre pensée père peuple phaëton pieds pierre pleurs politique porte premier prière prince qu'un raison reste Revue du Nord rien Romains s'il Saint Seclin Seigneur sera seul siècle silence sorte St.-Bertin Térentia terre tête Thomas Becket tombe tout-à-coup triste trouve vérité Vierge voilà voix vrai yeux ZILIA ᎪᏞᏴᎬᎡᎢ
Popular passages
Page 256 - ... d'un billet cacheté, lequel contiendra le nom et l'adresse de l'auteur Ce billet ne sera ouvert que dans le cas où le Mémoire aurait été jugé digne d'un prix ou d'une mention honorable; sinon il sera brûlé publiquement , séance tenante.
Page 106 - ... matérielle. Le but de la société ne saurait être seulement la production des richesses ; ce but est la plus grande diffusion possible de l'aisance , du bien-être et de la morale parmi les hommes. Les théories de l'école anglaise ne sauraient y conduire : elles doivent donc se modifier ou faire place à des doctrines plus sûres. Déjà , nous l'avons fait remarquer , une nouvelle école d'économie politique apparaît, plus morale et plus humaine , qui s'occupe bien plus de l'aisance des...
Page 169 - Hic ego qui jaceo, tenerorum lusor amorum, Ingenio perii Naso poeta meo. At tibi, qui transis, ne sit grave, quisquis amasti, Dicere : Nasonis molliter ossa cubent.
Page 352 - quand j'aurais la certitude d'être démembré et coupé en morceaux sur l'autre bord, je ne m'arrêterais point dans ma route. C'est assez de sept ans d'absence pour le pasteur et pour le troupeau.
Page 195 - Catherine par la grâce de Dieu , Reine de France , mère du Roi , à tous présens et à venir. Comme , après avoir entendu avec beaucoup de regrets , ennuis et déplaisir la mort de notre très-cher et aimé fils le duc d'Anjou , nous...
Page 103 - Des progrès naturels de la population. ]N ou s avons défini l'économie politique , la recherche des moyens par lesquels le plus grand nombre d'hommes , dans un Etat donné , peut participer au plus haut degré de bien-être physique qui dépende du gouvernement.
Page 196 - En témoignage de quoi nous avons signé ces présentes de notre main et fait apposer notre scel. Donné à Fontainebleau , au mois de juillet 1584, signé sur le replis Catherine , et dessus icelui : Par la Reine , mère du Roi BRCLART. Et scellés en lachés' de soie rouge et verd et sigillé en cire verte du grand sceel de ladite Reine.
Page 256 - Quel était l'état politique et commercial, quelles étaient les mœurs des habitants des côtes sus-indiquées, à l'époque de l'invasion des Anglais? Quelle influence a été exercée , sous ces mêmes rapports, par la longue occupation étrangère et par les nombreuses luttes qu'elle a suscitées?
Page 106 - ... d'unir étroitement, par un anneau indissoluble, la science des richesses matérielles avec la science des richesses morales : c'est, en un mot, de prendre pour 'base le grand élément civilisateur; le christianisme (1); car n'est-ce pas lui surtout qu'il faut invoquer , lorsqu'il s'agit d'apaiser les souffrances de la grande société humaine?
Page 337 - Les astres de la nuit roulaient dans le silence ; Éole a suspendu les haleines des vents ; Tout se tait sur les eaux , dans les bois , dans les champs ; Fatigué des travaux qui vont bientôt renaître, Le tranquille taureau s'endort avec son maître ; Les malheureux humains ont oublié leurs maux; Tout dort, tout s'abandonne aux charmes du repos; Phénisse...