Grammaire de la langue française, ramenée aux principes les plus simples: Grammaire complètevve. E. Belin et fils, 1888 - 244 pages |
Common terms and phrases
adjectif déterminatif adjectifs numéraux ordinaux adverbes adverbialement aimé ou aimée appelle propositions C'est-à-dire comparaison complément direct compléments circonstanciels conjonctions de coordination conjonctions de subordination conjugaison conjuguent Conjuguez dérivés désigne Dieu différence dire enfants êtes eussiez expriment féminin forme FUTUR ANTÉRIEUR FUTUR SIMPLE gallicismes genre grammaticale homme indirect infinitif interrogation J'ai l'action l'adverbe l'article l'attribut l'auxiliaire l'indicatif l'infinitif lieu lorsqu'il est placé manière masculin mode indicatif mode subjonctif modifie mots négation nom composé nombre nombre cardinal parfait indéfini parle participe passé participe présent phrase place avant plément PLUS-QUE-PARFAIT préfixe première conjugaison prend l'accord pronom conjonctif pronom relatif pronoms personnels proposition principale PROPOSITION RÉGIE propositions subordonnées circonstancielles propositions subordonnées complétives quelquefois rapporte reçu règle REMARQUE repenti reste invariable s'accorde s'emploie s'emploient s'il sens sert seul signifie singulier sions sition sorte sous-entendu substantif suffixes suivi sujet syntaxe tantôt tion troisième personne verbe au pluriel verbes neutres verbes passifs veut virgule voyelle
Popular passages
Page 209 - Le Loup déjà se forge une félicité Qui le fait pleurer de tendresse. Chemin faisant, il vit le col du Chien pelé. Qu'est-ce là ? lui dit-il. - Rien. - Quoi ?rien ?- Peu de chose. - Mais encor ? - Le collier dont je suis attaché De ce que vous voyez est peut-être la cause. - Attaché ? dit le Loup : vous ne courez donc pas Où vous voulez ? - Pas toujours, mais qu'importé ? - Il importe si bien, que de tous vos repas Je ne veux en aucune sorte, Et ne voudrais pas même à ce prix un trésor.
Page 210 - Entre le pauvre et vous vous prendrez Dieu pour juge ; Vous souvenant, mon fils, que, caché sous ce lin, Comme eux vous fûtes pauvre, et comme eux orphelin.
Page 208 - Moi, des tanches? dit-il, moi, héron, que je fasse Une si pauvre chère? Et pour qui me prend-on?
Page 214 - Un mal qui répand la terreur, Mal que le ciel en sa fureur Inventa pour punir les crimes de la terre, La peste (puisqu'il faut l'appeler par son nom), Capable d'enrichir en un jour l'Achéron, Faisait aux animaux la guerre. Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés : On n'en voyait point d'occupés A chercher le soutien d'une mourante vie ; Nul mets n'excitait leur envie ; Ni loups ni renards n'épiaient La douce et l'innocente proie ; Les tourterelles se fuyaient : Plus d'amour, partant...
Page 203 - N'attendez pas, messieurs, que j'ouvre ici une scène tragique, que je représente ce grand homme étendu sur ses propres trophées, que je découvre ce corps pâle et sanglant auprès duquel fume encore la foudre qui l'a frappé...
Page 19 - Le mien. La mienne. Les miens. Les miennes. Le tien. La tienne. Les tiens. Les tiennes. Le sien. La sienne. Les siens. Les siennes.
Page 214 - De mes prospérités interrompre le cours. Un songe (me devrais-je inquiéter d'un songe ?) Entretient dans mon cœur un chagrin qui le ronge.
Page 212 - Il faut qu'en cent façons, pour plaire, il se replie, Que tantôt il s'élève et tantôt s'humilie; Qu'en nobles sentiments il soit partout fécond , Qu'il soit aisé, solide, agréable, profond, Que de traits surprenants sans cesse il nous réveille...
Page 37 - J'eus reçu. Tu eus reçu. Il eut reçu. Nous eûmes reçu. Vous eûtes reçu. Ils eurent reçu.(*) FRANÇAISE.
Page 167 - LE CHÊNE ET LE ROSEAU Le chêne un jour dit au roseau : "Vous avez bien sujet d'accuser la nature : Un roitelet pour vous est un pesant fardeau. Le moindre vent qui d'aventure Fait rider la face de l'eau Vous oblige à baisser la tête : Cependant que mon front, au Caucase pareil, Non content d'arrêter les rayons du soleil, Brave l'effort de la tempête.