Nos animaux domestiques dan les religions: l'histoire, les plaisirs, les lettres et les artsBoivin, 1914 - 553 pages |
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... dernier supplice ceux qui avaient mangé des viandes impures . De graves raisons climatériques peuvent motiver l'interdiction d'une espèce de viande , mais que dire de l'école végétarienne qui pratique l'abstinence totale de la chair ...
... dernier supplice ceux qui avaient mangé des viandes impures . De graves raisons climatériques peuvent motiver l'interdiction d'une espèce de viande , mais que dire de l'école végétarienne qui pratique l'abstinence totale de la chair ...
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... dernier est venu en France sous Louis XVI avec les modes d'Outre - Manche . Le roastbeef est la pierre de touche , le trébuchet gastronomi- que de la cuisine anglaise . Cuit à point , jamais saignant , surtout ! Nous disons en France ...
... dernier est venu en France sous Louis XVI avec les modes d'Outre - Manche . Le roastbeef est la pierre de touche , le trébuchet gastronomi- que de la cuisine anglaise . Cuit à point , jamais saignant , surtout ! Nous disons en France ...
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... dernier les comptait , il fit raisonner sa lyre . Apollon , ravi des sons de cet instrument qu'il ne connaissait pas , voulut le lui acheter . Mercure saisit avec empressement l'occasion de conclure une bonne affaire ; il accepta l ...
... dernier les comptait , il fit raisonner sa lyre . Apollon , ravi des sons de cet instrument qu'il ne connaissait pas , voulut le lui acheter . Mercure saisit avec empressement l'occasion de conclure une bonne affaire ; il accepta l ...
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... dernier sommeil . Quant aux va- ches , elles sont jetées dans le Gange , le fleuve sacré des Hindous , seule sépulture digne d'un animal quasi - divin . Lorsqu'elles parais- sent dans des fêtes religieuses , les prêtres les parent de ...
... dernier sommeil . Quant aux va- ches , elles sont jetées dans le Gange , le fleuve sacré des Hindous , seule sépulture digne d'un animal quasi - divin . Lorsqu'elles parais- sent dans des fêtes religieuses , les prêtres les parent de ...
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... dernier identique au nôtre , quant aux cornes et au corps . La déesse Pien - t'sai - t'iên est regardée comme la divinité de la terre . C'est elle qui envoie , chaque matin et chaque soir , la rosée qui fertilise le sol . Epouse du ...
... dernier identique au nôtre , quant aux cornes et au corps . La déesse Pien - t'sai - t'iên est regardée comme la divinité de la terre . C'est elle qui envoie , chaque matin et chaque soir , la rosée qui fertilise le sol . Epouse du ...
Common terms and phrases
âne animaux Apollon appelé attelés avaient ayant bélier berger bergers bêtes bézoard blanc bœuf bœuf gras bouc bouchers brebis Bucéphale bull dog C'était Cachemire caniche cavalier célèbre chair char charcutier Charles chasse chat chat noir chatte cheval chèvre chien cirque cochon cornes corps coup courses d'or déesse devant dieu dieux divinités dogues donner écuries Egypte égyptienne femme fête fils Grecs guerre héros hommes honneur John Bull jour jument Jupiter l'âne l'animal l'histoire l'homme l'un laine lait légende LIBRARY locution Louis Louis XIV loup maître manger ment monté monture mort mouton moyen âge mules mulet Musée Napoléon noir Osiris Palizzi passer pattes pays peau pendant Perse peuple pieds place poètes poils porc porte pourceaux premier prince proverbe queue race représentant reste Romains Rome sacré saint seul siècle sorte suivant taureau temple terre tête Théophile Gautier tion Trimalcion troupeaux trouve truie UNIVERSITY OF CALIFORNIA vache veau viande voitures
Popular passages
Page 465 - L'injuste fortune Me les a ravis. En vain j'importune Le ciel par mes cris; II rit de mes craintes, Et, sourd à mes plaintes, Houlette ni chien, II ne me rend rien. Puissiez-vous, contentes, Et sans mon secours, Passer d'heureux jours, Brebis innocentes, Brebis, mes amours ! Que Pan vous défende : Hélas ! il le sait, Je ne lui demande Que ce seul bienfait.
Page 82 - Les voyez-vous, les belles bêtes, Creuser profond et tracer droit, Bravant la pluie et les tempêtes, Qu'il fasse chaud, qu'il fasse froid? Lorsque je fais halte pour boire, Un brouillard sort de leurs naseaux, Et je vois sur leur corne noire Se poser les petits oiseaux.
Page 465 - D'une amitié tendre ; Mais son long courroux Détruit, empoisonne Tous mes soins pour vous, Et vous abandonne Aux fureurs des loups.
Page 472 - Champenois ne formèrent plus que des troupeaux de quatrevingt-dix-neuf moutons. Cela n'était pas si bête; mais César, instruit de la ruse, ordonna qu'à l'avenir le berger de chaque troupeau serait compté pour un mouton et paierait comme tel . » Thibault IV, comte de Champagne, voulant faire face...
Page 81 - J'ai deux grands bœufs dans mon étable, Deux grands bœufs blancs , marqués de roux ; La charrue est en bois d'érable . L'aiguillon en branche de houx ; C'est par leurs soins qu'on voit la plaine Verte l'hiver, jaune l'été ; Ils gagnent dans une semaine Plus d'argent qu'ils n'en ont coûté. S'il me fallait les vendre , J'aimerais mieux me pendre; j'aime Jeanne ma femme , eh bien ! j'aimerais mieux La voir mourir, que voir mourir mes bœufs.
Page 326 - C'était le jour de la bataille, . Il s'élança sous la mitraille, Le chien suivit. Le plomb tous deux vint les atteindre ; Est-ce le maître qu'il faut plaindre ? Le chien survit.
Page 412 - Les amoureux fervents et les savants austères Aiment également, dans leur mûre saison, Les chats puissants et doux, orgueil de la maison, Qui comme eux sont frileux et comme eux sédentaires.
Page 326 - Qu'il aime, qu'il souffre, qu'il pleure, Et qu'il mourra. Quel fut son nom ? C'est un mystère • Jamais la voix qui lui fut chère Ne le dira.
Page 82 - S'il me fallait les vendre, etc. Ils sont forts comme un pressoir d'huile, Ils sont doux comme des moutons. Tous les ans on vient de la ville Les marchander dans nos cantons, Pour les mener aux Tuileries, Au mardi gras, devant le roi, Et puis les vendre aux boucheries.
Page 383 - Jean II, duc de Montmorency, voyant que la guerre allait se rallumer entre Louis XI et le duc de Bourgogne, fit sommer à son de trompe ses deux fils, Jean de Nivelle et Louis de Fosseuse, de quitter la Flandre où ils avaient des biens considérables, et de venir servir le roi. Ni l'un ni l'autre n'obéirent; leur père, irrité, les déshérita en les traitant de chiens.