Histoire Des Suisses Ou Helvétiens, Depuis les tems les plus reculés, jusques à nos jours |
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alliance alliés anciens armée armes Autrichiens avoient avoit Berne Bernois bourgeois Bourgogne C'étoit Cantons cause cents César château chef commune comte confédérés conserver Constance côté d'autres d'Uri demander dernier devoit divers donner doute duc d'Autriche effet élevé empereur enfin ennemis ensuite états étoient étoit faveur fils firent force former Gall Gaules général Glaris gouvernement guerre habitans Helvétiens helvétique hommes jours juges jusques l'abbé l'empereur l'empire l'évêque l'Helvétie l'histoire l'un laissa liberté lieu ligue long-tems Lucerne mains maison maître marcher ment mille mort moyens nation nobles noblesse nombre nommé nouveaux nouvelle paix pape particulier passa pays pendant père peuple peut-être porter pouvoit premier presque prince provinces puissant qu'à qu'un quatre rendit rendre reste réunis rien Rodolphe Romains Schwitz secours seigneurs seul siècle sort Souabe souvent succès Suisses suite suivant sujets tems terres tion traité trouve vallée vassaux victoire ville villes voisins voit Zurich
Popular passages
Page 129 - Je vous le dis en vérité, un riche entrera difficilement dans le royaume des cieux. 24 Je vous le dis encore, il est plus facile à un chameau de passer par le trou d'une aiguille qu'à un riche d'entrer dans le royaume de Dieu.
Page 63 - On sent en soi-même un plaisir secret lorsqu'on parle de cet empereur ; on ne peut lire sa vie sans une espèce d'attendrissement : tel est l'effet qu'elle produit, qu'on a meilleure opinion de soi-même, parce qu'on a meilleure opinion des hommes.
Page 71 - Voici, en un mot, l'histoire des Romains : ils vainquirent tous les peuples par leurs maximes; mais, lorsqu'ils y furent parvenus, leur république ne put subsister; il fallut changer de gouvernement, et des maximes contraires aux premières, employées dans ce gouvernement nouveau, firent tomber leur grandeur.
Page 347 - Ils formèrent un ordre de bataille serré ayant la forme d'un coin. Ce fut dans cet ordre, qu'après avoir imploré à genoux, suivant leur usage, la protection divine, ils marchèrent à l'ennemi. Les cavaliers de Leopold avaient mis pied à terre et formaient une phalange impénétrable hérissée de longues piques.
Page 74 - Jérôme, a inondé les Gaules. Tout ce qui est entre les Alpes et les Pyrénées, entre l'Océan et le Rhin, a été en proie aux Quades, aux Vandales, aux Sarmates, aux Alains, aux Gépides, aux Hérules, aux Saxons, aux Burgondes, aux Allemands et aux Pannoniens,...
Page 231 - ... adoucit sur quelques points la rigueur des lois imposées par les rois normands. Ainsi, pour détruire les abus de la vaine pâture , pour faire respecter la propriété privée aux bergers de Calabre et de Sicile , Guillaume avait institué la peine de mort et la confiscation des biens contre ceux qui , en faisant paître leurs troupeaux , dépassaient les limites permises. Frédéric...
Page 93 - Franks de me déclarer la guerre et de s'unir à nos ennemis pour nous détruire ! La vraie foi ne peut pas résider avec la convoitise du bien d'autrui et la soif du sang des peuples. Qu'il montre sa foi par ses œuvres ». Hlodowig avait, en effet, déclaré la guerre à Gondobald.
Page 277 - Lavpen coui vrait de gloire , eut encore celle d'être choisi volontai» rement par les princes de la maison de Neufchâtel pour » tuteur des jeunes comtes de Nydau , c'est-à-dire des » enfans de ce même comte qui venait de tomber sous « ses coups. Ainsi ses fils trouvèrent un .protecteur dans » le vainqueur de leur père ; et par ses soins ( par les > soins de Derlach ) leur héritage leur fut fidellement con* serve.
Page 349 - Je vais vous ouvrir un passage. Au même instant il court à l'ennemi , saisit autant de fers de piques que ses bras nerveux en peuvent contenir , et les appuyant sur sa large poitrine , il les entraîne avec lui en tombant. Par...
Page 349 - Par ce dévouement héroïque , il assure la victoire à ses compatriotes qui passant en foule sur son corps , ^e jettent dans l'ouverture qu'il leur a faite. Leurs files étroites et serrées y pénètrent avec une force irrésistible. Les premiers rangs des ennemis fatigués et embarrassés de leurs armures sont renversés par ces hommes pleins de vigueur et de rage j la confusion , l'épouvante s'emparent du reste de leur troupe.