| Claude François Beaulieu - 1803 - 452 pages
...que ceux qui étendaient leurs «mains souffraient. beaucoup plus long« temps, parce que les coups de sabre étaient «amortis avant de porter sur la tête; qu'il «y en avait même dont les bras et lès mains « tombaient avant le corps, et que ceux qui « les plaçaient derrière le dos, devaient... | |
| François de Jourgniac Saint-Méard - 1823 - 406 pages
...ceux qui étendaient leurs mains souffraient beaucoup plus long-temps, parce que les coups de sabres étaient amortis avant de porter sur la tête ; qu'il y en avait même dont les mains et les bras tombaient avant le,corps, et que ceux qui les plaçaient derrière le dos devaient... | |
| 1823 - 404 pages
...ceux qui étendaient leurs mains souffraient beaucoup plus long-temps, parce que les coups de sabres étaient amortis avant de porter sur la tête ; qu'il y en avait même dont les mains et les bras tombaient avant le corps, et que ceux qui les plaçaient derrière le dos devaient... | |
| Saint Albin Berville, François Barrière - 1823 - 424 pages
...ceux qui étendaient leurs mains souffraient beaucoup plus long-temps, parce que les coups de sabres étaient amortis avant de porter sur la tête ; qu'il y en avait même dont les mains et les bras tombaient avant le corps, et que ceux qui les plaçaient derrière le dos devaient... | |
| Guillaume Honoré Rocques ¬de Montgaillard - 1827 - 476 pages
...que ceux qui » étendaient leurs mains souffraient beaucoup plus » long-temps, parce que les coups de sabre étaient » amortis avant de porter sur la tête ; qu'il y en avait » même dont les mains et les bras tombaient avant le » corps , et que ceux qui les plaçaient derrière le corps »... | |
| abbé Guillaume Honoré Rocques de Montgaillard - 1827 - 474 pages
...que ceux qui » étendaient leurs mains souffraient beaucoup plus » long-temps , parce que les coups de sabre étaient » amortis avant de porter sur la tête ; qu'il y en avait » même dont les mains et les bras tombaient avant le » corps , et que ceux qui les plaçaient derrière le corps »... | |
| Jean Gabriel Maurice Rocques de Montgaillard - 1833 - 472 pages
...que ceux qui « étendaient leurs mains souffraient beaucoup plus « long-temps , parce que les coups de sabre étaient « amortis avant de porter sur la tête ; qu'il y en avait « même dont les mains et les bras tombaient avant le « corps, et que ceux qui les plaçaient derrière le corps «... | |
| Jean-Baptiste-Joseph Champagnac - 1833 - 420 pages
...beaucoup plus long-temps, parce que les coups de sabre étaient amortis avant de porter sur la tète ; qu'il y en avait même dont les bras et les mains tombaient avant le corps ; et que ceux qui les plaçaient derrière le dos devaient souffrir beaucoup moins. Tels étaient... | |
| vicomte Joseph-Alexis Walsh - 1840 - 446 pages
...rapportaient que ceux qui étendaient leurs mains souffraient beaucoup plus long-temps, parceque les coups de sabre étaient amortis avant de porter sur la tête, qu'il y en avait même dont les mains et les bras tombaient à terre avant le corps... et que ceux qui les plaçaient derrière le... | |
| François de Jourgniac Saint-Méard - 1858 - 348 pages
...rapportaient que ceux qui étendaient leurs mains souffraient beaucoup plus longtemps, parce que les coups de sabre étaient amortis avant de porter sur la tête; qu'il y eu avait même dont les1 mains et les bras tombaient avant le corps , et que ceux qui les plaçaient... | |
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