 | France. Convention nationale - 1828 - 544 pages
...contestations particulières, an lieu de vous occuper du salut de la république , je vous répudie tous comme traîtres à la patrie. Je vous mets tous sur la même ligne. Je leur disais : Et que m'importe ma réputation ! que la France soit libre et que mon nom soit flétri!... | |
 | Saint Albin Berville, François Barrière - 1828 - 542 pages
..., je ne connais que l'ennemi , battons l'ennemi. (Nouveaux applaudissements.) Vous qui me fatiguez de vos contestations particulières, au lieu de vous occuper du salut de la république , je vous répudie tous comme traîtres à la patrie. Je vous mets tous sur' la même ligne.... | |
 | René Levasseur - 1829 - 838 pages
...discussions sont misérables ; je ne connais que l'ennemi ; battons l'ennemi. Vous qui me fatiguez de vos contestations particulières, au lieu de vous occuper du salut de la république , je vous répudie tous comme traîtres à la patrie. Eh ! que m'importe ma réputation!... | |
 | Philippe-Joseph-Benjamin Buchez - 1836 - 992 pages
...misérables ; je ne connais que l'ennemi, battons l'ennemi. (Nouveaux applaudissemens.) Vous qui me fatiguez de vos contestations particulières, au lieu de vous occuper du salut de la République, je vous répudie tous comme traîtres à la patrie. Je vous mets tous sur la même ligne.... | |
 | Auguste Amic, Etienne Mouttet - 1841 - 728 pages
..., je ne connais que l'ennemi , battons l'ennemi! (Nouveaux applaudissemens.) Vous '¡ni me fatiguez gmentait leur importance ; ils semblaient être partagés en deux sectes, do république, je vous répudie tous comme traîtres à la patrie. Je vous mets tous sur la même ligne... | |
 | Louis Pierre Anquetil - 1845 - 616 pages
...i Vous, qui me fatiguez de vos contestations particulières, continua-t-il , je vous répudie tous comme traîtres à la patrie, je vous mets tous sur la même ligne. Eh! que m'importe ma repu ta lion f que la France soit libre et que mon nom soit flétri 1 Combattons,... | |
 | Théophile Lavallée - 1847 - 582 pages
...l'exaltation populaire. Danton s'indigna de cette résistance : « Vous qui me fatiguez, s'écria-t-il, par vos contestations particulières, au lieu de vous occuper du salut de la patrie, je vous répudie tous comme des traîtres. Vos discussions sont misérables ; je ne connais... | |
 | Albert Maurin - 1849 - 542 pages
...discussions sont misérables ; je ne connais que l'ennemi ; battons l'ennemi ! Vous qui me fatiguez de vos contestations particulières, au lieu de vous occuper du salut de la république, je vous répudie tous comme traîtres à la patrie, je vous mets tous sur la même ligne.... | |
 | Albert Maurin - 1849 - 524 pages
...discussions sont misérables ; je ne connais que l'ennemi ; battons l'ennemi ! Vous qui me fatiguez de vos contestations particulières, au lieu de vous occuper du salut de la république, je vous répudie tous comme traîtres à la patrie, je vous mets tous sur la même ligne.... | |
 | Jules Michelet - 1850 - 642 pages
...ne connais que l'ennemi, battons l'ennemi !... ( Nouveaux applaudissements. ) Vous qui me fatiguez de vos contestations particulières, au lieu de vous occuper du salut de la République, je vous répudie tous, comme traîtres à la patrie. Je vous mets tous sur la même ligne.... | |
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Vous qui me fatiguez de vos contestations particulières, au lieu de vous occuper du salut de la République, je vous répudie tous, comme traîtres à la patrie. Je vous mets tous sur la même ligne. 
