| L. Lafaist, Jean Louis Félix Danjou, Félix Danjou - 1835 - 994 pages
...qui les verra et plus encores tous ceux qui les liront. Et ce qui rend ces labeurs plus admirables , c'est qu'il avoit un corps si débile de nature, tant atténué de veilles et de soubriété par trop grande, et qui plus est subjet à tant de maladies , que tout homme qui le voyoit... | |
| 1835 - 452 pages
...verra et plus encores tous ceux qui les liront. El ce qui rend ces labeurs plus admirables, c'est qui! avoit un corps si débile de nature, tant atténué de veilles et desoubriété par trop grande, et qui plus est subjet à tant de maladies, que tout homme qui le voyoit... | |
| Jean Calvin - 1842 - 424 pages
...qui les verra, et plus encore tous ceux qui les liront. El ce qui rend ses labeurs plus admirables, c'est qu'il avoit un corps si débile de nature, tant...de sobriété par trop grande , et , qui plus est , sujel à lant de maladies, que tout homme qui le voyoit n'eût pu penser qu'il eût pu vivre tant... | |
| Guillaume Adam de Félice - 1850 - 680 pages
...verra, et plus encore ceux qui les liront. Et ce qui rend ses labeurs plus admirables, c'est qu'il avait un corps si débile de nature, tant atténué de veilles...est, sujet à tant de maladies, que tout homme qui le voyait n'eût pu penser qu'il eût pu vivre tant soit peu; et toutefois, pour tout cela, il n'a jamais... | |
| Eugène HAAG (and (Émile)), Émile Haag - 1852 - 528 pages
...esté en extrême maladie.» — «Et.ajoute le biographe, ce qui rend ces labeurs plus admirables, c'est qu'il avoit un corps si débile de nature, tant atténué de veilles et d* sobriété par trop grande, et qui plus est subjet à tant de maladies, que tout homme qui le voyoit... | |
| 1857 - 842 pages
...admiration. Elle est d'autant plus remarquable que ce grand travailleur avait, au dire de Th. de Bèze, un corps si débile de nature, tant atténué de veilles...sobriété par trop grande, et qui plus est sujet à à tant de maladies, que tout homme qui le voyait n'eût pu penser qu'il eût pu vivre tant soit peu.... | |
| Henri de Triqueti - 1859 - 318 pages
...seule fois, si ce n'a esté en extrême « maladie; et ce qui rend ces labeurs plus « admirables, c'est qu'il avoit un corps si « débile de nature,...« de sobriété par trop grande, et qui plus est « subjet à tant de maladies, que tout homme c qui le voyait n'eust pu penser qu'il eust « pu vivre... | |
| Henri de Triqueti - 1859 - 322 pages
...seule fois, si ce n'a esté en extrême « maladie; et ce qui rend ces labeurs plus « admirables, c'est qu'il avoit un corps si « débile de nature,...« de sobriété par trop grande, et qui plus est « siibjet à tant de maladies, que tout homme « qui le voyait n'eust pu penser qu'il eust * pu vivre... | |
| Guillaume Adam Félice - 1861 - 718 pages
...liront. Et ce qui rend ses labeurs plus admirables, c'est qu'il avait un corps si débile denature, tant atténué de veilles et de sobriété par trop...est, sujet à tant de maladies, que tout homme qui le voyait n'eût pu penser qu'il eût pu vivre tant soit peu ; et toutefois, pour tout cela, il n'a jamais... | |
| Jean Calvin - 1879 - 760 pages
...encores tous ceux qui les lirout. Et ce qui rend ces labeurs plus admirables, c'est qu'il avoit nn corps si débile de nature, tant atténué de veilles...et de sobriété par trop grande, et qui plus est suiet à tant de maladies, que tout homme qui le voyoit n'eust peu penser qu'il eust peu vivre, tant... | |
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