Le peuple, accourant en foule, renversa mon carrosse ; et les femmes du MarchéNeuf firent d'un étau une machine sur laquelle elles me rapportèrent, pleurantes et hurlantes, à mon logis. Vous ne doutez pas de la manière dont cet effort de mon obéissance... Musée des familles: lectures du soir - Page 2481849Full view - About this book
| Jean François Paul de Gondi de Retz - 1817 - 542 pages
...un bonheur signalé je trouvai , au bout de la rue Notre-Dame , du Buisson , marchand de bois , et qui avait beaucoup de crédit sur les ponts. Il était absolument à moi , mais il se mit ce jourlà de mauvaise humeur; il battit mon postillon; il menaça mon cocher. Le... | |
| Jean François Paul de Gondi (card. de Retz.) - 1825 - 458 pages
...absolument à moi; mais il se mit ce jour-là de fort mauvaise humeur: il battit mon postillon, il menaça mon cocher. Le peuple accourut en foule ,...carrosse ; et les femmes du Marché-Neuf firent d'un étau une machine sur laquelle elles me •rapportèrent , pleurant et hurlant, à mon logis. Vous... | |
| 1825 - 464 pages
...absolument à moi; mais il se mit ce jour-là de fort mauvaise humeur : il battit mon postillon , il menaça mon cocher. Le peuple accourut en foule ,...carrosse ; et les femmes du Marché-Neuf firent d'un étau une machine sur laquelle elles me rapportèrent, pleurant et hurlant, à mon logis. Vous ne doutez... | |
| Petitot (M., Claude-Bernard) - 1825 - 460 pages
...absolument à moi; mais il se mit ce jour-là de fort mauvaise humeur : il battit mon postillon , il menaca mon cocher. Le peuple accourut en foule , renversa...carrosse ; et les femmes du Marché-Neuf firent d'un étau une machine sur laquelle elles me rapportèrent , pleurant et hurlant, à mon logis. Vous ne... | |
| 1850 - 396 pages
...par un bonheur signalé (\c mot est charmant! ) je trouvai, au bout de la rue NotreDame, Dubuisson , le marchand de bois, qui avait beaucoup de crédit sur les ponts. Il était absolument à moi. 11 battit mon postillon et menaça mon cocher... Le peuple accourut en foule, renversa mon carrosse,... | |
| Léonce Curnier - 1862 - 444 pages
...de l'archevêché, avait arrêté ses chevaux et battu son cocher. « Le peuple, dit-il , accourant en foule renversa mon carrosse, et les femmes du Marché-Neuf firent d'un étau une machine sur laquelle elles me rapportèrent pleurantes et hurlantes à mon logis. » Ovation... | |
| Jean François Paul de Gondi de Retz - 1872 - 722 pages
...jour-là en mauvaise humeur. Il battit mon postillon; il menaça 'mon cocher. Le peuple, accourant en foule, renversa mon carrosse; et les femmes du Marché-Neuf firent d'un étau1 une machine sur laquelle elle» me rapportèrent, pleurantes et hurlantes*, à mon logis '.... | |
| Jean François Paul de Gondi de Retz - 1879 - 384 pages
...par un bonheur signalé, je trouvai au bout de la rue Notre-Dame, Du Buisson, marchand de bois, et qui avait beaucoup de crédit sur les ponts. Il était absolument à moi , mais il se mit ce jour-là de fort mauvaise humeur; il battit mon postillon, il menaça mon cocher.... | |
| Jean François Paul de Gondi de Retz - 1891 - 452 pages
...ce jour-là en mauvaise humeur. Il battit mon postillon et me rossa mon cocher. Le peuple accourant en foule renversa mon carrosse; et les femmes du Marché-Neuf firent d'un étau une machine sur laquelle elles me rapportèrent pleurantes et hurlantes à mon logis. Vous ne... | |
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