Imaginezvous, je vous supplie, ces deux personnes sur le perron de l'Hôtel de Ville, plus belles en ce qu'elles paraissaient négligées, quoiqu'elles ne le fussent pas. Elles tenaient chacune un de leurs enfants entre leurs bras, qui étaient beaux... Musée des familles: lectures du soir - Page 2521849Full view - About this book
| Jean François Paul de Gondi de Retz - 1817 - 542 pages
...négligées , quoiqu'elles ne le fussent pas. Elles tenaient chacune un de leurs enfans entre les bras, qui étaient beaux comme leurs mères. La Grève était pleine de peuple jusL - -~ (i) Pomponne de Bellièvre , second du nom , mort prenne* président du parlement de Paris,... | |
| Jean François Paul de Gondi de Retz - 1820 - 578 pages
...'ellesparaissaientnégligées, quoiqu'ellesne le fussent pas. Elles tenaient chacune un de leurs enfans entre les bras, qui étaient beaux comme leurs mères. La Grève était...joie , toutes les femmes pleuraient de tendresse. Je jetai cinq cents pistoles par les fenêtres de l'hôtel de ville , et après avoir laissé Noirmoutier... | |
| Jean François Paul de Gondi de Retz - 1820 - 598 pages
...ellesparaissaientnégligées, quoiqu'elles ne le fussent pas. Elles tenaient chacune un de leurs enfans entre les bras, qui étaient beaux comme leurs mères. La Grève était...peuple jusqu'au-dessus des toits ; tous les hommes pous- >saient des cris de joie, toutes les femmes pleuraient de tendresse. Je jetai cinq cents pistoles... | |
| 1901 - 988 pages
...négligées, quoiqu'elles ne le fussent pas. Elles tenaient chacune un de leurs enfans dans leurs bras, qui étaient beaux comme leurs mères. La Grève était pleine de peuple jusques au-dessus des toits ; tous les hommes jetaient des cris de joie; toutes les femmes pleuraient... | |
| 1850 - 396 pages
...perron de l'Hôtel-de-Ville... « Imaginez-vous, s'écrie Gondi, ces deux belles personnes, plus belles encore en ce qu'elles paraissaient négligées, quoiqu'elles...tendresse. Je jetais 500 pistoles par les fenêtres de PHôtel-de- Ville, et nous partions à la tête d'une foule innombrable de gens armés et non armés.... | |
| Louis Pierre Anquetil - 1845 - 632 pages
...fussent pas. Elles tenaient chacune uu de leurs enfants entre leurs bras . qui étaient beaux comme les mères. La Grève était pleine de peuple jusqu'au-dessus des toits ; tous les hommes jetaient des cris de joie, toutes les femmes pleuraient de tendresse1. • 1 Journal département,... | |
| Claude Henri Victor Cousin - 1853 - 596 pages
...qu'elles paraissaient négligées, quoiqu'elles ne le fussent pas. Elles tenaient chacune dans leurs bras un de leurs enfants, qui étaient beaux comme...peuple jusqu'au-dessus des toits; tous les hommes jetaient des cris de joie et les femmes pleuraient de tendresse 3. » Là, dans la nuit du 28 au 29... | |
| Victor Cousin - 1853 - 512 pages
...qu'elles paraissaient négligées, quoiqu'elles ne le fussent pas. Elles tenaient chacune dans leurs bras un de leurs enfants, qui étaient beaux comme...peuple jusqu'au-dessus des toits; tous les hommes jetaient des cris de joie et les femmes pleuraient de tendresse 3. » Là, dans la nuit du 28 au 29... | |
| Louis Pierre Anquetil - 1851 - 668 pages
...quoiqu'elles ne « le fussent pas. Elles lenaient chacune un de leurs enfants entre leurs bras, « qui étaient beaux comme leurs mères. La Grève était pleine de peuple « jusqu'au-dessus des loits ; tous les hommes jetaient des cris de joie, toutes « les femmes pleuraient de tendresse. »... | |
| Victor Cousin - 1855 - 582 pages
...qu'elles paraissaient négligées, quoiqu'elles ne le fussent pas. KHes tenaient chacune dans leurs bras un de leurs enfants, qui étaient beaux comme...peuple jusqu'au-dessus des toits; tous les hommes jetaient des cris de joie et les femmes pleuraient de tendresse3. » Là, dans la nuit du 28 au 29... | |
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