| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1787 - 748 pages
...de l'homme. CHAPITRE PREMIER. L'univers est une représentation sensible de la Divinité, JE ne puis ouvrir les yeux sans admirer l'art qui éclate dans toute la nature : le moindre coup d'ceil suffit pour appercevoir la main qui fait tout. Que les hommes accoutumés à méditer les vérités... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1787 - 752 pages
...l'homme. '• . CHAPITRE PREMIER. L'univers est une représentation sensible de la Divinité, JE ne puis ouvrir les yeux sans admirer l'art qui éclate dans toute la nature : le moindre coup d'œil suffit pour appercevoir la main qui fait tout. Que les hommes accoutumés à méditer les vérités... | |
| Charles de Villers - 1801 - 536 pages
...sage Prélat , » sans admirer , l'art qui éclate dans toute la nature. Le y> moindre coup-d'œil suffit pour apercevoir la main qui » fait tout. Que les hommes accoutumés à méditer les vé53 rites abstraites , et à remonter aux. premiers principes, 3> connaissent la divinité par spn... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1810 - 538 pages
...l'homme. CHAPITRE PREMIER. L'univers est une représentation sensible de la .Divinité, (JE né puis ouvrir les yeux sans admirer l'art qui éclate dans toute la nature : le moindre coup-d'œil sufiit pour apercevoir Ja main qui fait tout. Que les hommes accoutumés à méditer les... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1810 - 446 pages
...de l'homme. CHAPITRE PREMIER. L'univers est une représentation sensible de la Divinité. JE ne puis ouvrir les yeux sans admirer l'art qui éclate dans toute la nature : le moindre coup-d'œil suffit pour apercevoir la main qui a fait tout. Que les hommes accoutumés à méditer... | |
| Anne Marie comtesse Beaufort d'Hautpoul - 1821 - 452 pages
...qu'il l'annonce lui-même; écoutons-le : qui oseroit parler lorsqu'il peut l'entendre? « Je ne puis ouvrir les yeux sans admirer « l'art qui éclate dans toute la nature : le « moindre coup-d'œil suffit pour apercevoir « la main qui fait tout. Que les hommes ac« coutumés- à méditer... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1822 - 546 pages
...DE L'HOMME. CHAPITRE PREMIER. L'univers est une représentation sensible de la Divinité. JE ne puis ouvrir les yeux sans admirer l'art qui éclate dans toute la nature : le moindre coup d'œil suffit pour apercevoir la main qui a fait tout. Que les hommes accoutumés à méditer les vérités... | |
| Anne Marie comtesse de Beaufort d'Hautpoul - 1830 - 386 pages
...qu'il l'annonce lui même ; écoutons-le : qui oserait parler lorsqu'il peut l'entendre ? « Je ne puis ouvrir les yeux sans admirer l'art « qui éclate dans toute la nature : le moindre coup« d'œil suffit pour apercevoir la main qui fait tout. « Que les hommes accoutumés à méditer des... | |
| Charles de Villers - 1833 - 242 pages
...établissant par elle-même une certitude apodicti*) » Je ne puis ouvrir les yeux , dit le sage Prélat , sans » admirer l'art qui éclate dans toute la nature. Le moindre coup» d'œil suffit pour apercevoir la main qui fait tout. Que les » hommes accoutumés à méditer les... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1835 - 748 pages
...CHAPITRE PREMIER. Premes de l'eiistenco de Dieu , tirées de l'aspect général de l'univen. Je ne puis ouvrir les yeux sans admirer l'art qui éclate dans toute la nature : le moindre coup d'œil suffit pour apercevoir la main qui fait tout. Que les hommes accoutumés à méditer les vérités... | |
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