Œuvres complètes de Rollin, Volume 8F. Didot, 1822 |
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Common terms and phrases
Achéens affaires alliés ambassade ambassadeurs Andriscus Annibal Antiochus Appian armée armes arrivé assemblée Attale aussi-bien avaient ayant c'était Callicrate camp cavalerie cents talents Chalcis combat commissaires conseil consul courage d'Antiochus d'Eumène déclarer déja demander Démétriade Démétrius députés dessein devait Dieu dieux discours donner Égypte ennemis envoya Éphèse Épiphane Étoliens Eumène Excerpt faisait fils flotte frère fût Grèce guerre jour Judas Juifs l'armée l'Asie l'assemblée l'Égypte l'ennemi laisser liberté ligue long-temps Lycortas Lysimachie Macédoine Macédoniens Machab mains maître Marcius ment mille hommes mont Taurus mort n'avait Nabis nation ordonna ordre ôtages paix passer Paul Émile père Pergame Persée peuple romain Philippe Philométor Philopémen Polyb porter pour-lors pouvait prince prit Prusias Ptolémée Ptolémée Épiphane Quintius remportée rendre Rhodiens rien rois Rome royaume s'était Scipion secours Séleucus sénat sentiments serait seul soldats songea sorte Sparte Syrie temple Thessalie Thrace tion trône troupes trouva tyran venir victoire villes
Popular passages
Page 108 - Il ôtait une partie du domaine du peuple vaincu pour la donner aux alliés ; en quoi il faisait deux choses : il attachait à Rome des rois dont elle avait peu à craindre, et beaucoup à espérer ; et il en affaiblissait d'autres dont elle n'avait rien à espérer et tout à craindre.
Page 137 - ... républiques étant d'une nature toute différente , et dans celles-ci les délibérations les plus importantes roulant presque toujours sur des contestations qu'on avait avec les rois, il arriverait nécessairement de deux choses l'une , ou que les Achéens feraient l'avantage de ces princes au préjudice de la nation, ou qu'ils se rendraient coupables d'une noire ingratitude envers leurs bienfaiteurs. Il finit en exhortant les Achéens à refuser le présent qu'on leur offrait, et il ajouta...
Page 241 - courageusement , je paraîtrai digne de la « vieillesse où je -suis , et je laisserai aux «jeunes gens un exemple de fermeté, en « souffrant avec constance et avec joie une « mort honorable pour le sacré culte de nos
Page 242 - demandez-vous , et que voulez-vous apprendre de « nous ? Nous sommes prêts à mourir plutôt que de « violer les saintes lois que Dieu a données à nos
Page 155 - Philopœmen étoit couché sur son manteau, sans dormir, et tout occupé de sa douleur et de sa tristesse. Dès qu'il vit de la lumière et cet homme près de lui, tenant sa lampe d'une main et la coupe de poison de l'autre, il se releva avec...
Page 125 - Jusqu'à l'âge de près de cinquante ans , il s'était conduit dans ses affaires avec une valeur, une prudence et une application qui avaient fait réussir toutes ses entreprises , et lui avaient mérité le titre de grand. Mais, depuis ce temps, sa sagesse et son application avaient fort décliné, et ses affaires avaient pris le même train.
Page 257 - Il sortait des vers de son corps ; toutes les chairs lui tombaient par pièces , avec une odeur si effroyable, que toute l'armée n'en pouvait souffrir la puanteur. Ne pouvant lui-même la supporter...
Page 244 - ... pitié de moi qui vous ai porté « neuf mois dans mon sein, qui vous ai nourri de mon « lait pendant trois ans, et qui vous ai élevé jusqu'à « l'âge où vous êtes.
Page 409 - Philopémen , un des plus habiles 8c des plus intrépides Capitaines de l'antiquité. Ce fut dans ces deux écoles qu'il prit ces lavantes leçons de gouvernement & de guerre , qu'il a mife» lui-même en pratique , & qu'il a fait palier à là poftérité dans fes Ecrits.
Page 358 - Romaine lui envoyoit des vivres fur des barques. Arrivé en préfence des Macédoniens, il fit alte pour penfer à ce qu'il avoit à faire. Le lieu où campoit Perfée étoit une campagne rafe & unie, très propre à mettre en bataille un corps nombreux de gens de pie peïàmment armés , tel qu'étoit la Phalange.