Œuvres completes de Voltaire, Volume 3la Société Littéraire-typographique, 1785 |
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affaffin affez affreux Affur ainfi amour ARZA Arzace Atide auffi Azéma Bénaffar BENASSAR bras c'eft c'eſt cher ciel courroux crainte Crefphonte crime cruel d'horreur deffeins deftins dieu dieux efprits eft-ce Egifthe époux EROX eſt EURY CLÈS facré faibleffe fang fans doute fauver fcène fecret fein femble fens fentiment fers fervir feul foins foit foldats fon cœur fon fils font forfaits fous fouvent fuis fuivi fujet funefte fur-tout fureur gloire Hélas hymen ISMENIE j'ai jour jufte l'amour laiffe Madame MAHO Mahomet mains maître malheureux Mecque Mefsène MERO MERO PE Mérope MOHADIR monftre mort n'eft NARBA Ninias Ninus OMAR OROES OTANE paffés paffion PALMIRE peuple pleurs Polyphonte preffe puiffe punir raiſon RAMIR Ramire refpect refte reine rois s'eft SEID Séide Seigneur SEMIRA MIS Sémiramis SERAME ſes ſon théâtre tragédie trifte trône tyran venger vois voix yeux ZEMA ZOPIR Zopire ZULI Zulime
Popular passages
Page 288 - S'il reste un rejeton de la race d'Alcide, Si ce fils, tant pleuré, dans Messène est produit, De quinze ans de travaux j'ai perdu tout le fruit...
Page 478 - Par cette fin terrible, et due à ses forfaits, Apprenez, roi des Juifs, et n'oubliez jamais Que les rois dans le ciel ont un juge sévère, L'innocence un vengeur, et l'orphelin un père.
Page 348 - II court : c'était Egisthe ; il s'élance aux autels ; II monte , il y saisit , d'une main assurée , Pour les fêtes des dieux la hache préparée. Les éclairs sont moins prompts : je l'ai vu de mes yeux , Je l'ai vu qui frappait ce monstre audacieux. « Meurs , tyran , disait-il : dieux , prenez vos victimes...
Page 299 - J'ai voulu dans la guerre exercer ma jeunesse, Servir sous vos drapeaux, et vous offrir mon bras : Voilà le seul dessein qui conduisit mes pas.
Page 183 - Si j'avais à répondre à d'autres qu'à Zopire, Je ne ferais parler que le dieu qui m'inspire ; Le glaive et l'Alcoran, dans mes sanglantes mains, Imposeraient silence au reste des humains; Ma voix ferait sur eux les effets du tonnerre, Et je verrais leurs fronts attachés à la terre : Mais je te parle en homme, et sans rien déguiser; Je me sens assez grand pour ne pas t'abuser...
Page 169 - Ne sais-tu pas encore, homme faible et superbe, Que l'insecte insensible, enseveli sous l'herbe, Et l'aigle impérieux qui plane au haut du ciel, Rentrent dans le néant aux yeux de l'Éternel?