Mes prisons: suivi des Devoirs des hommesGarnier, 1863 - 356 pages |
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aimer âme amour arrivé bonheur bonté Brême Brünn c'était carbonari cesse chambre CHAPITRE cher chose chrétien christianisme cœur compagnons compassion condamnés consolations courage créature d'autres devoir Dieu dire dis-je disais-je disait donner douce douleurs doux enfants esprit Feldkirchen femme fenêtre Francesca da Rimini frères geôlier guichetiers homme infortunés j'ai j'avais j'étais jamais jeune joie jour l'âme l'amour l'homme laisser larmes Louis XVII Lubiana m'apporta m'avait m'était madame de Staël main malade malheureux Maroncelli matin ment mère mérite Milan monsieur Moravie mort noble Oroboni pable palais du Patriarche pardon paroles passer patrie pauvre peine pendant pensée père personne peut-être philosophie Piémont plein pleurais poëte Porro pouvait prier prison quelquefois raison regards religion respect reste reux s'il sais sait Schiller scorbut semblait sentiments sera seul Silvio Pellico sœurs soir sorte souf Spielberg sublime surintendant tendre tion Tremerello triste trouver Turin venir vérité vertu voix Zanze
Popular passages
Page 44 - ... montre avec cette évidence. Mais puisqu'elle dit, au contraire, que les hommes sont dans les ténèbres et dans l'éloignement de Dieu...
Page 45 - Toutes nos actions et nos pensées doivent prendre des routes si différentes, selon qu'il y aura des biens éternels à espérer ou non, qu'il est impossible de faire une démarche avec sens et jugement, qu'en la réglant par la vue de ce point, qui doit être notre dernier objet.
Page 273 - C'est mal raisonner contre la religion, de rassembler dans un grand ouvrage une longue énumération des maux qu'elle a produits, si l'on ne fait de même celle des biens qu'elle a faits.
Page 273 - Timur et Gengiskan , qui ont dévasté l'Asie ; et nous verrons que nous devons au christianisme , et dans le gouvernement un certain droit politique, et dans la guerre un certain droit des gens que la nature humaine ne sauroit assez reconnoître.
Page 273 - Ce seraient des citoyens infiniment éclairés sur leurs devoirs , et qui auraient un trèsgrand zèle pour les remplir; ils sentiraient très-bien les droits de la défense naturelle ; plus ils croiraient devoir à la religion, plus ils penseraient devoir à la patrie.
Page 296 - ... hommes la science divine de la charité, il faut en faire l'apprentissage en famille. « Quelle douceur ineffable n'y at-il pas dans cette pensée : « Nous sommes les enfants d'une même mère !.. » Si vous voulez être bon frère, défendez-vous de l'égoï'sme. Que chacun de vos frères, que chacune de vos sœurs voie que ses intérêts vous sont aussi chers que les vôtres. Si l'un d'eux commet une faute, soyez indulgent pour le coupable.
Page 273 - BAYLE, après avoir insulté toutes les religions , flétrit la religion chrétienne : il ose avancer que de véritables chrétiens ne formeroient pas un état qui pût subsister.
Page 16 - ... sont aigus et multipliés : ces précieux dons de la nature tournent à sa ruine : il ne vit que pour la douleur : nulle correspondance, nulle société, nul éclaircissement de son sort. Quelle mutilation de l'existence ! C'est cesser de vivre, et ne jouir pas du repos que procure la mort.
Page 273 - qui ne semble avoir pour objet que la félicité de « l'autre vie, fait encore notre bonheur dans celle-ci.
Page 350 - ... iniuria; nemo enim iustus esse potest, qui mortem, qui dolorem, qui exilium, qui egestatem timet, aut qui ea, quae sunt his contraria, aequitati anteponit.