Mille traverses, mille peines nous fatiguent et nous inquiètent dans la route ; encore si je pouvais éviter ce précipice affreux. Non, non , il faut marcher , il faut courir ; telle est la rapidité des années. On se console pourtant, parce que de... Sermons - Page 221by Jacques Bénigne Bossuet (bp. of Meaux.) - 1772Full view - About this book
| Jean-Sifrein Maury - 1810 - 570 pages
..., non ; il faut marcher , il faut » courir : telle est la rapidité des années. On » se console pourtant parce que de temps en » temps on rencontre des objets qui nous diver» tissent, des eaux courantes, des fleurs qui i» passent. On voudroit s'arrêter. Marche ! »... | |
| 1810 - 428 pages
...il faut marcher, il faut courir: » telle est la rapidité des années. On se console pour» tant, parce que de temps en temps on rencontre » des objets qui nous divertissent, des eaux courantes, » des fleurs qui passent. On voudroit s'arrêter : Marche* V> marche'.... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - 1816 - 718 pages
...affreux. Non, non; il faut marcher, il faut courir: [ telle est la ] rapidité des années. On se console pourtant; parce que de temps en temps [on rencontre des ] objets qui nous divertissent, des eaux courantes, courantes, des fleurs qui passent, etc. On voudroit arrêter ; marche,... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - 1816 - 712 pages
...affreux. Non, non; il faut marcher, il faut couru-: [ telle est la ] rapidité des années. On se console pourtant ; parce que de temps en temps [ on rencontre des] objets qui nous divertissent, des eaux courantes, courantes, des fleurs qui passent, etc. On voudroit arrêter ; marche,... | |
| Gabriel Peignot - 1824 - 310 pages
...! Non , non , il faut marcher , il faut courir : telle est la rapidité des années. On se console pourtant, parce que de temps en temps on rencontre des objets qui nous divertissent, des eaux courantes, des fleuves qui passent. On voudroit s'arrêter : marche ! marche... | |
| Jacques Saurin - 1824 - 642 pages
...affreux! Non, non, il faut marcher, il faut courir, telle est la rapidité des années. On se console pourtant, parce que de temps en temps on rencontre des objets qui nous divertissent, des eaux courantes, des fleurs qui passent. On voudroit s'arrêter ; marche ! marche... | |
| Thomas Moore - 1826 - 404 pages
...marche! Un poids invincible nous entraîne; il faut sans cesse avancer vers le précipice. On se console pourtant, parce que, de temps en temps, on rencontre des objets qui nous divertissent, des eaux courantes, des fleurs qui passent. On voudrait arrêter; marche, marche! (Sermon... | |
| 1826 - 472 pages
...freux! Non, non, il faut marcher, il faut courir. Telle, « est la rapidité des années. On se console pourtant, parce » que de temps en temps on rencontre des objets qui nous » divertissent, des eaux courantes, des fleuves qui passent. » On voudroit s'arrêter : marche ,... | |
| Jean Siffrein Maury - 1827 - 650 pages
...Non, non; « il faut marcher, il faut courir : telle est la « rapidité des années. On se console pourtant, « parce que de temps en temps on rencontre « des objets qui nous divertissent, des eaux cou« rantes, des fleurs qui passent. On voudroit « s'arrêter. Marche ! marche... | |
| 1835 - 344 pages
...affreux. Non, non, il faut marcher, il faut courir, telle est la rapidité des années. On se console pourtant, parce que de temps en temps on rencontre des objets qui nous divertissent, des eaux courantes, des fleurs qui passent. On voudrait arrêter; marche, marche. Et... | |
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