Non, non: dans ces gouffres, des feux dévorans, grincemens de dents, un pleur éternel, un feu qui ne s'éteint pas, un ver qui ne meurt pas. Tel est le chemin de celui qui s'abandonne aux sens ; plus court aux uns qu'aux autres. On ne voit pas la fin... Sermons - Page 222by Jacques Bénigne Bossuet (bp. of Meaux.) - 1772Full view - About this book
| Jacques Bénigne Bossuet - 1816 - 718 pages
...vie; que ce gouffre, c'est la mort. Mais la mort finit tous les maux passés, et se finit elle-même. Non, non: dans ces gouffres, des feux dévorans, grincemens...qui ne s'éteint pas, un ver qui ne meurt pas. Tel est le chemin de celui qui s'abandonne aux sens ; plus court aux uns qu'aux autres. On ne voit pas... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - 1816 - 712 pages
...; que ce gouffre, c'est la mort. Mais la mort finit tous les maux passés, et se finit elle-même. Non, non : dans ces gouffres, des feux dévorans,...qui ne s'éteint pas, un ver qui ne meurt pas. Tel est le chemin de celui qui s'abandonne aux sens ; plus court aux uns qu'aux autres. On ne voit pas... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - 1846 - 428 pages
...maux passés , et se finit elle-même. Non , non; dans ces gouffres, des feux dévorants , grincements de dents , un pleur éternel , un feu qui ne s'éteint pas , un ver qui ne meurt pas. Tel est le chemin de celui qui s'abandonne aux sens , plus court aux uns qu'aux autres. (Abrégé d'un... | |
| Théodore Lorin - 1852 - 336 pages
...CHARTIER, Poés., p. 173. — CH. DESPORTES, Poés., p. 228, etc. Bossuet a dit encore pleur au singulier : Un pleur éternel, un feu qui ne s'éteint pas, un ver qui ne meurt pas. Serm. de la résurrect. Consultez VAUGELAS, Rem. sur la lang. franc., t. II, p. 716, 717. — ACADÉMIE,... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - 1863 - 658 pages
...; que ce gouffre, c'est la mort. Mais la mort finit tous les maux passés , et se finit elle-même? Non, non : dans ces gouffres, des feux dévorans ,...qui ne s'éteint pas, un ver qui ne meurt pas. Tel est le chemin de celui qui s'abandonne aux sens , plus court aux uns qu'aux autres. On ne voit pas... | |
| Alexandre Réaume - 1869 - 564 pages
...passés , et se finit-elle elle-même? Non, non: dans ces gouffres, des feux dévorants, grincements de dents, un pleur éternel, un feu qui ne s'éteint pas, un ver qui ne meurt pas. Tel est le chemin de celui qui s'abandonne aux sens ; plus court aux uns qu'aux autres. On ne voit pas... | |
| Alexandre Réaume - 1869 - 586 pages
...passés, et se tinit-elle elle-même ? Non, non : dans ces gouffres, des feux dévorants, grincements de dents, un pleur éternel, un feu qui ne s'éteint pas, un ver qui ne meurt pas. Tel est le chemin de celui qui s'abandonne aux sens ; plus court aux uns qu'aux autres. On ne voit pas... | |
| Gustave Lanson - 1894 - 252 pages
...maux passés, et se finit elle-même ? Non, non ; dans ces gouffres, des feux dévorants, grincements de dents, un pleur éternel, un feu qui ne s'éteint pas, un ver qui ne meurt pas. Tel est le chemin de celui qui s'abandonne aux sens, plus court aux uns qu'aux autres. On ne voit pas la... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - 1923 - 732 pages
...passés, et se finit elle-même ! — Non, non : dans ces gouffres, des feux dévorants, grincements <le dents, un pleur éternel, un feu qui ne s'éteint pas, un ver qui ne meurt pas. Tel est le chemin de celui qui s'abandonne au sens. Plus court aux uns qu'aux autres. On ne voit pas la... | |
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