Mélanges religieux, historiques, politiques et littéraires: 2e série. Tome premier-[tome sixième]Gaume frères et J. Duprey, Editeurs, 1859 - 531 pages |
Common terms and phrases
adversaires Alloury anglicane assez aujourd'hui auteurs païens avons Bossuet Cardinal CARDINAL GOUSSET catholicisme catholique charité chose chrétiens Cicéron classiques clergé cœur condamnation conscience constitution déclaration despotisme Dieu diocèse dire discours doctrines donner Donoso Cortès écrit écrivains Église enseigner esprit Évêques Foisset gens gouvernement Guizot Henri VIII hommes j'ai jamais Jésus-Christ Joseph de Maistre jour Journal des Débats journalisme religieux l'abbé Gaduel l'abbé Gaume l'éducation l'Église l'enseignement l'Épiscopat l'esprit l'Univers laïques laisser latin Lenormant lettre liberté livre Louis Veuillot Lourdoueix mandement ment Mgr l'Évêque d'Orléans Mgr Parisis mœurs monarchie monde Monseigneur l'évêque d'Orléans morale moyen âge Nisard non-seulement paganisme parler parole Pégase pensée Pères personne peuple philosophie poëtes polémique politique prélat presse religieuse prêtres protestantisme publier publique qu'un question raison rédacteur réforme religion Renaissance respect reste révolution rien s'il Saint-Siége sait savant sentiment serait seul siècle social société sommes teurs théologie tion trouve vénérables vérité Voilà Voltaire zèle
Popular passages
Page 297 - ... l'obligation de ce devoir, parce que ce devoir est le premier principe sur quoi roule la prudence même, et à quoi toute cette vertu doit se rapporter. Les intérêts de Dieu , c'est-à-dire ce qui touche son culte , sa religion , sa loi , son honneur, sa gloire, sont d'un ordre si relevé, qu'ils ne peuvent jamais être balancés par nul autre intérêt ; et d'ailleurs ces mêmes intérêts de Dieu sont tellement entre nos mains , que vous et moi nous en devons être les garans , et qu'autant...
Page 318 - C'est à vous que je parle , ma sœur. Le moindre solécisme en parla'nt vous irrite ; Mais vous en faites, vous, d'étranges en conduite. Vos livres éternels ne me contentent pas; Et, hors un gros Plutarque à mettre mes rabats, Vous devriez brûler tout ce meuble inutile , Et laisser la science aux docteurs de la...
Page 516 - Or nous n'avons pas reçu l'esprit du monde, mais l'Esprit qui vient de Dieu, afin que nous connaissions les choses que Dieu nous a données par sa grâce.
Page 299 - Vous me direz que votre zèle fera de l'éclat et du bruit ; mais pourquoi donc en faire , si ce n'est pour empêcher ce que vous savez être un véritable désordre, soit dans l'intérieur de votre famille, soit au dehors?
Page 168 - Attachons-nous plus que jamais aux méthodes éprouvées par le » temps, consacrées par l'expérience, et qui produisirent tous ces » grands hommes dont la littérature, les sciences, la philosophie chré» tienne, la politique, l'Eglise, ont pu, à si juste titre, se glorifier
Page 442 - La nation était constituée, et si bien constituée qu'elle n'a jamais demandé à aucune nation voisine la garantie de sa constitution. Elle était constituée en trois ordres, formant chacun une personne indépendante, quel que fût le nombre de ses membres, et...
Page 316 - Nous voulons, disions-nous dans le prospectus , par des livres conscien» cieux et mis à la portée de toutes les intelligences et de toutes les bourses, » aplanir l'effrayant amas de préjugés, de mensonges, que trois siècles ont » élevés entre les regards de l'homme et les œuvres de Dieu. Nous voulons dé...
Page 292 - ... plus nonchalamment. On s'attend qu'ils reprendront les mauvaises mœurs , on dit qu'ils le font d'office ; et l'esprit humain indocile y fait moins de réflexion. Mais quand un homme que l'on croit du monde, simplement et sans affectation, propose de bonne foi ce qu'il sent de Dieu en luimême; quand il ferme la bouche à un libertin qui fait vanité du vice, ou qui raille impudemment des choses sacrées , encore une fois , chrétiens , qu'une telle conversation , assaisonnée de ce sel de grâce,...
Page 405 - Tibre ; ne l'avez-vous point vue enfin monter au Quirinal qui a été son Calvaire?... Oui, la liberté est morte, et elle ne ressuscitera ni au troisième jour, ni à la troisième année, ni au troisième siècle peut-être. Vous vous effrayez de la tyrannie que nous souffrons ? Vous vous effrayez de peu : vous verrez bien autre chose...
Page 434 - Mais il est un point sur lequel la nation a toujours réclamé invariablement son consentement et sa volonté libre; ce sont les impôts, parce que les impôts attaquent la propriété...