Dictionnaire universel des sciences morale, économique, politique et diplomatique; ou Bibliotheque de l'homme-d'état et du citoyen;Chez les libraires associés, 1782 |
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Common terms and phrases
abfolument affez affurer afile ainfi ambaffadeurs auffi auroit avoient avoit befoin c'eft c'eft-à-dire c'eſt caufe ceffe cenfé chofes circonftances civiles comte confeil confentement conféquence confervation confidérable connoiffance connoître crime Darmstadt efclaves effentiellement efpece enfans enfuite ennemis eſt Etats étoient étoit euffent expreffément faifant fans favoir fe font fecond fecours feigneur femblable femmes fens fentiment feroient feroit fervir feul fiecle fimple florins fociété foient foin foit fommes forte fous fouvent fouverain fouveraineté fucceffion fuite fuivant fujets fupérieur fur-tout Guerre habitans Henri IV Hollandois hommes Hottentots injufte jufqu'à jufte juftice l'Etat l'Homme l'ufage laiffer loix lorfqu'il lorfque majefté maniere miniftres n'eft n'étoit nations nature naturel néceffaire néceffité non-feulement obferver obligé paffer paffions paix paroît particuliere pays penfer perfonne peuple plaifir plufieurs poffeffion poffible pouvoir préfent préfident Jeannin prefque premiere prifes prince promeffe Provinces-Unies puiffance puiffe puifque punir queftion raifon refpect refte rixdales rois s'eft treve ufage vaiffeaux
Popular passages
Page 434 - pour œil, dent pour dent, main pour main, pied « pour pied, brûlure pour brûlure, plaie pour « plaie, meurtrissure pour meurtrissure.
Page 458 - Ensuite , en examinant en particulier les difFérens peuples qui composent chacune de ces races noires , nous y verrons autant de variétés que dans les races blanches, et nous y trouverons toutes les nuances du brun au noir, .comme nous avons trouvé dans les races blanches toutes les nuances du brun au blanc.
Page 459 - ... les limites de la misère de leurs esclaves. On les force de travail ; on leur épargne la nourriture , même la plus commune. Ils supportent, dit- on , très-aisément la faim; pour vivre trois jours, il ne leur faut que la portion d'un Européen pour un repas ; quelque peu qu'ils mangent et qu'ils dorment, ils sont toujours également durs, également forts au travail.
Page 681 - C'est que tout ce qui nous frappe dans nos amis, comme dans nos ennemis, se lie naturellement avec les sentimens agréables ou désagréables qu'ils nous font éprouver; et que, par conséquent, les défauts des uns empruntent toujours quelque agrément de ce que nous remarquons en eux de plus aimable, ainsi que les meilleures qualités des autres nous...
Page 517 - Un homme n'est pas pauvre parce qu'il n'a rien, mais parce qu'il ne travaille pas. Celui qui n'a aucun bien et qui travaille est aussi à son aise que celui qui a cent écus de revenu sans travailler.
Page 332 - ... deux urnes, l'une de cuivre, & l'autre de bois; au couvercle de ces urnes , étoit une fente garnie d'un quarré long , qui , large par le haut , fe rétréciffoit par le bas , comme nous voyons à quelques troncs anciens dans nos églifes.
Page 460 - Je doute que cela soit aussi vrai des Égyptiennes que des Hottentotes. Quoi qu'il en soit , toutes les femmes naturelles du Cap sont sujettes à cette monstrueuse difformité , qu'elles découvrent à ceux qui ont assez de curiosité ou d'intrépidité pour demander à la voir ou à la toucher. Les hommes , de leur côté, sont tous à demi eunuques; mais il est vrai qu'ils ne naissent pas tels, et qu'on leur ôte un testicule ordinairement à l'âge de huit ans , et souvent plus tard. M. Kolbe...
Page 453 - ... leurs cheveux. Les femmes sont affreuses : elles ont de longues mamelles qui leur tombent sur le nombril , le ventre extrêmement gros , les jambes fort menues , les bras de même, des physionomies de singe, de vilains traits, etc.
Page 460 - Par tous ces témoignages, il est aisé de voir que les hottentots ne sont pas de vrais nègres; mais des hommes qui, dans la race des noirs, commencent à se rapprocher du blanc , comme les maures , dans la race blanche, commencent à s'approcher du noir...
Page 517 - Dans les pays de commerce, où beaucoup de gens n'ont que leur art, l'état est souvent obligé de pourvoir aux besoins des vieillards, des malades et des orphelins.