Histoire philosophique et médicale de la femme considérée dans toutes les époques principales de la vie, Volume 1Baillière, 1858 - 606 pages |
Common terms and phrases
accoucha admirable adoré âge aime Alpaïs amant âme amour architecture grecque Argelès beau beauté belle besoin bonheur brillant caractère Catherine de Médicis cesse charmes château de Bellevue ciel cœur consolation corps courage Créateur délicate délicatesse désirs destinée développement Dieu différents dire divin doit donner douce douleurs doux enfants enfin époque époux éprouve esprit facultés faiblesse femme fleurs fœtus force François Ier gloire goût Grecs grossesse Henri d'Albret heureux hommes inspire jeune fille jeunesse jouissances jour l'accouchement l'âge l'âme l'amour l'art l'enfant l'esprit l'homme l'utérus Laure madame madame de Staël maladies mariage matrice médecin menstruation menstruel ment MENVILLE mère mois monde moral nature noble organes ovaires passions pensée Pétrarque philosophe physique plaisir plaisirs poëtes Praxitèle premier puberté pudeur puisse qu'une qualités quelquefois règles sainte sait sang santé science secret semble sensibilité sentiment serait seul sexe société soins souvent sublime talents tendre tendresse tion utérus vagin vertus vicomte de Ségur vive yeux
Popular passages
Page 94 - Et de porter le nom de son amant! Votre maison, vos gens, votre livrée, Tout vous retrace une image adorée; Et vos enfants, ces gages précieux, Nés de l'amour, en sont de nouveaux nœuds. Un tel hymen, une union si chère, Si l'on en voit, c'est le ciel sur la terre.
Page 388 - ... s'il a eu connaissance de la grossesse avant le mariage ; 2° s'il a assisté à l'acte de naissance et si cet acte est signé de lui ou contient sa déclaration qu'il ne sait signer ; 3° si l'enfant n'est pas déclaré viable.
Page 47 - Adieu, plaisant pays de France ! O ma patrie La plus chérie ; Qui a nourri ma jeune enfance ! Adieu, France ! adieu mes beaux jours. La nef qui disjoint nos amours N'a cy de moi que la moitié ; Une part te reste, elle est tienne ; Je la fie à ton amitié, Pour que de l'autre il te souvienne.
Page 62 - Il est difficile de définir l'amour. Ce qu'on en peut dire est que, dans l'âme, c'est une passion de régner; dans les esprits, c'est une sympathie, et dans le corps, ce n'est qu'une envie cachée et délicate de posséder ce que l'on aime après beaucoup de mystères.
Page 208 - Où est ce caractère tout à la fois touchant et sublime qui ne sent rien qu'avec excès ? Est-ce dans la froide indifférence et la triste sévérité de tant de pères ? Non : c'est dans l'âme brûlante et passionnée des mères.
Page 306 - ... bonheur. Mais si la destinée des femmes doit consister dans un acte continuel de dévouement à l'amour conjugal , la récompense de ce dévouement, c'est la scrupuleuse fidélité de celui qui en est l'objet. La religion ne fait aucune différence entre les devoirs des deux époux , mais le monde en établit une grande ; et de cette différence naît la ruse dans les femmes , et le ressentiment dans les hommes.
Page 232 - ... comme les hommes sont beaucoup plus grands et plus forts que les femmes, comme- ils ont le corps plus solide, plus massif, les, os plus durs, les muscles plus fermes , la chair plus compacte , on doit présumer que le...
Page 433 - Née tibi diva parens, generis née Dardanus auctor, Perfide, sed duris genuit te cautibus horrens Caucasus, Hyrcanaeque admôrunt ubera tigres.
Page 128 - Faisons l'homme à notre image et à notre ressemblance, et qu'il domine sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, sur les animaux, sur toute la terre et sur tous les reptiles qui rampent sur la terre.
Page 70 - ... mais, vivifiée par la nature, et revêtue de sa robe de noces, au milieu du cours des eaux et du chant des oiseaux, la terre offre à l'homme, dans l'harmonie des trois règnes, un spectacle plein de vie, d'intérêt et de charmes, le seul spectacle au monde dont ses yeux et son cœur ne se lassent jamais.