Einleitung in die geisteswissenschaften: versuch einer grundlegung für das studien der gesellschaft und der geschichte ; erster band, Volume 1

Front Cover
Duncker & Humblot, 1883 - 519 pages
 

Contents

Other editions - View all

Common terms and phrases

Popular passages

Page 113 - De la Réorganisation de la société européenne, ou de la Nécessité et des moyens de rassembler les peuples de l'Europe en un seul corps politique en conservant à chacun son indépendance nationale, par M.
Page 7 - Nous avons une si grande idée de l'âme de l'homme, que nous ne pouvons souffrir d'en être méprisés , et de n'être pas dans l'estime d'une âme ; et toute la félicité des hommes consiste dans cette estime.
Page 331 - Sunt namque ideae principales formae quaedam, vel rationes rerum stabiles atque incommutabiles, quae ipsae formatae non sunt, ac per hoc aeternae ac semper eodem modo sese habentes, quae in divina intelligentia continentur.
Page 424 - Et sic ex quatuor praedictis potest colligi dennitio legis, quae nihil est aliud quam quaedam rationis ordinatio ad bonum commune ab eo qui curam communitatis habet promulgata.
Page 426 - Deois, idola autem minus coluntur, infamant: praeceperas ergo, ut ex omnibus qui haberi ad praesens possunt historiarum atque annalium fastis, quaecumque aut bellis gravia aut corrupta morbis aut fame tristia aut terrarum motibus terribilia aut inundationibus aquarum insolita aut eruptionibus ignium metuenda aut ictibus fulminum plagisque grandinum saeva vel etiam parricidiis flagitiisque misera per transacta retro saecula repperissem, ordinato breviter voluminis textu explicarem...
Page 382 - Nee Plato quidem in hoc erravit, quia esse mundum intelligibilem. dixit, si non vocabulum, quod ecclesiasticae consuetudini in re illa inusitatum est, sed ipsam rem velimus attendere. Mundum quippe ille intelligibilem nuncupavit ipsam rationem sempiternam atque incommutabilem, qua fecit Deus mundum.
Page 495 - ... qu'autrement : mais on ajoute que cette raison suffisante est souvent la simple volonté de Dieu ; comme lorsqu'on demande pourquoi la matière n'a pas été placée autrement dans l'espace , les mêmes situations entre les corps demeurant gardées. Mais c'est justement soutenir que Dieu veut quelque chose , sans qu'il y ait aucune raison suffisante de sa volonté contre l'axiome ou la règle générale de tout ce qui arrive.
Page 495 - On m'objecte qu'en n'admettant point cette simple volonté, ce serait ôter à Dieu le pouvoir de choisir, et tomber dans la fatalité. Mais c'est tout le contraire : on soutient en Dieu le pouvoir de choisir , puisqu'on le fonde sur la raison du choix conforme à sa sagesse. Et ce n'est pas cette fatalité, qui n'est autre chose que l'ordre le plus sage de la Providence , mais une fatalité ou nécessité brute qu'il faut éviter , où il n'ya ni sagesse ni choix.
Page 485 - ... que la nature n'a pu vouloir fonder le bonheur d'un peuple sur le malheur de ses voisins, ni opposer l'une à l'autre deux vertus qu'elle inspire également: l'amour de la patrie et celui de l'humanité.
Page 7 - La grandeur de l'homme est grande en ce qu'il se connaît misérable. Un arbre ne se connaît pas misérable. C'est donc être misérable que de se connaître misérable; mais c'est être grand que de connaître qu'on est misérable. Toutes ces misères-là mêmes prouvent sa grandeur. Ce sont misères de grand seigneur, misères d'un roi dépossédé.

Bibliographic information