| 1798 - 598 pages
...Elle surpussa ses es» pérances par ses progrès dans les sciences et le» » langues Je la trouvais savante sans pédanterie, • animée dans la conversation,...ses sentimens • et élégante dans ses manières. .. » Apres la mort de son père elle « se retira à Genève où donnant des leçons à d« « jeunes... | |
| 1839 - 764 pages
...applaudissemens universels. Les récits d'un tel prodige éveillèrent ma curiosité. Je la vis et je l'aimai. Je la trouvai savante sans pédanterie, animée dans...conversation, pure dans ses sentimens et élégante dans les manières. La première et soudaine émolion se fortiBa par l'habitude et le rapprochement d'une... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1853 - 468 pages
...sujet des applaudissements universels. Les récits d'un tel prodige éveillèrent ma curiosité : je vis et j'aimai. Je la trouvai savante sans pédanterie, animée dans la conversation , pure dans les sentiments, et élégante dans les manières; et cette première émotion soudaine ne fit que se... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1870 - 542 pages
...applaudissements uni« versels. Les récits d'un tel prodige éveillèrent ma curiosité : je « vis et f aimai. Je la trouvai savante sans pédanterie, animée dans « la conversation, pure dans les sentiments, et élégante dans les « manières; et cette première émotion soudaine ne fit que... | |
| Grafigny (Mme de, Françoise d'Issembourg d'Happoncourt) - 1879 - 572 pages
...applaudissements universels. Les récits d'un tel prodige exaltèrent ma curiosité. Je la vis et je l'aimai. Je la trouvai savante sans pédanterie, animée dans la conversation, pure dans ses sentiments, et élégante dans ses manières. La première et soudaine émotion se fortifia par l'habitude... | |
| Suzanne Necker - 1881 - 126 pages
...sujet des applaudissements universels. Les récits d'un tel prodige éveillèrent ma curiosité : je vis et j'aimai. Je la trouvai savante sans pédanterie, animée dans la conversation, pure dans les sentiments et élégante dans les manières ; et cette première émotion soudaine ne fit que se... | |
| Ernest Boysse - 1881 - 402 pages
...applaudissements universels. Les récits d'un tel prodige excitèrent ma curiosité. Je la vis et je l'aimai. Je la trouvai savante sans pédanterie, animée dans la conversation, pure dans ses sentiments et élégante dans ses manières. Gibbon fit sa cour et ajoute qu'il put se ° flatter d'avoir... | |
| Haussonville (comte d') - 1882 - 510 pages
...Lausanne, l'esprit, la beauté et l'érudition de mademoiselle Curchod furent le sujet des applaudissements universels. Les récits d'un tel prodige éveillèrent...pédanterie, animée dans la conversation, pure dans ses sentiments et élégante dans les manières. La première et soudaine émotion se fortifia par l'habitude... | |
| Vicomte D'haussonville - 1882 - 696 pages
...l'érudition de mademoiselle Curchod furent 1« sujet del applaudissements uuiversels. Les récits •l'un tel prodige éveillèrent ma curiosité. Je la vis...et j'aimai. Je la trouvai savante sans pédanterie, auimée dans la conversation, pure dans ses sentiments et élégante dans les manières. La première... | |
| Haussonville (comte d') - 1885 - 376 pages
...l'érudition de mademoiselle Curchod furent le sujet des applaudissements universels. Les récits d'uri, tel prodige éveillèrent ma curiosité. Je la vis...pédanterie, animée dans la conversation, pure dans ses sentiments et élégante dans les manières. La première et soudaine émotion se fortifia par l'habitude... | |
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