Oeuvres de François Rabelais: Gargantua |
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Common terms and phrases
Amyot ancien appelle apres archaïque attesté aujourd'hui aultres avant avecques avoit beau belles Berry c'est-à-dire cens ceste ceulx CHAPITRE chascun chemin cheval choses cité corps coup cours d'après d'or dames désigne diables dict Dieu dire dist donne écrit également employé espée esté Estienne estoient estoit faict faisait feist femmes feut figure force forme François fréquent Frere Gargantua gens Grandgousier grec guerre Gymnaste heure hommes Jean jours jusques l'autre Latinisme lieu Ligne lire livre main manque Marot ment mille Monsieur Montaigne moyen moyne nommé parler passé patois pays petit petite Picrochole pied place poinct porte première propre qu'ilz quatre Rabelais raisins reste rien s'en saint seigneur sens sera sert servait seulement sorte Terme terre teste tiré tour traité trouve troys usuel verbe vieilli XVIe XVIIe XXVII
Popular passages
Page 274 - La raison le veult ainsi, car de leur labeur je suis entretenu et de leur sueur je suis nourry, moy, mes enfans et ma famille •.
Page 430 - FAY CE QUE VOULDRAS, parce que gens libères, bien nez, bien instruictz, conversans en compaignies honnestes, ont par nature un instinct et aguillon qui tousjours les poulse à faictz vertueux et retire de vice, lequel ilz nommoient honneur.
Page 219 - Lors, si bon sembloit, on continuoit la lecture, ou commenceoient à deviser joyeusement ensemble, parlans pour. les premiers moys de la vertus, propriété, efficace et nature de tout ce que leur estoit servy à table : du pain, du vin, de l'eau, du sel, des viandes, poissons, fruictz, herbes, racines, et de l'apprest d'icelles.
Page 221 - Ce faict, on apportoit des chartes, non pour jouer, mais pour y apprendre mille petites gentillesses et inventions nouvelles, lesquelles toutes yssoient de arithmétique.
Page 366 - Mais je le puniz en tel exemple, quoy qu'il me appellast heretique, que depuis ce temps caphart quiconques n'est auzé entrer en mes terres. Et m'esbahys si vostre roy les laisse prescher par son royaulme telz scandales. Car plus sont à punir que ceulx qui par art magicque ou aultre engin auroient mis la peste par le pays. La peste ne tue que le corps, mais telz imposteurs empoisonnent les ames.
Page 282 - Quelle furie doncques te esmeut maintenant, toute alliance brisée, toute amitié conculquée, tout droict trespassé, envahir hostilement ses terres, sans en rien avoir esté par luy ny les siens endommaigé, irrité ny provocqué ? Où est foy ? Où est loy ? Où est raison ? Où est humanité ? Où est craincte de Dieu...
Page 273 - Holos! holos! dist Grandgousier, qu'est cecy, bonnes gens ? Songé je, ou si vray est ce qu'on me dict ? Picrochole, mon amy ancien de tout temps, de toute race et alliance, me vient il assaillir ? Qui le meut ? Qui le poinct ? Qui le conduict ? Qui l'a ainsi conseillé...
Page 276 - Dont j'ay congneu que Dieu éternel l'a laissé au gouvernail de son franc arbitre et propre sens, qui ne peult estre que meschant sy par grâce divine n'est continuellement guidé1, et, pour le contenir en office et réduire à congnoissance, me l'a icy envoyé à molestes enseignes.
Page 365 - Blasphement ilz en ceste façon les justes et sainctz de Dieu qu'ilz les font semblables aux diables, qui ne font que mal entre les humains, comme Homere...
Page 300 - Que prétendez vous par ces belles conquestes ? Quelle sera la fin de tant de travaulx et traverses ? — Ce sera (dist Picrochole) que, nous retournez, repouserons à noz aises.